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@ -80,9 +80,9 @@
\newlabel{ligne:cartelegend}{{21}{61}{Une légende}{lstnumber.A.13.21}{}}
\@writefile{lof}{\contentsline {figure}{\numberline {A.3}{\ignorespaces Une légende\relax }}{62}{figure.caption.74}\protected@file@percent }
\newlabel{figure:legende}{{A.3}{62}{Une légende\relax }{figure.caption.74}{}}
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\newlabel{listing:cerclegreat}{{A.15}{63}{Une légende}{lstlisting.A.15}{}}
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\newlabel{ligne:declargreatcircle}{{3}{63}{Une légende}{lstnumber.A.15.3}{}}
@ -160,9 +160,6 @@
\setcounter{lownamepenalty}{25}
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@ -345,15 +345,15 @@ var videoOverlay = L.videoOverlay(videoUrls, latLngBounds, {(*@\label{ligne:vide
}).addTo(map);
\end{lstlisting}
Plusieurs vidéos peuvent être jouées successivement, auquel cas elles doivent être spécifiées dans le tableau \emph{videoUrls} de la ligne \ref{ligne:genevideos}, séparées par une virgule.
Plusieurs vidéos peuvent être lancées successivement. Dans ce cas, elles doivent être spécifiées dans le tableau \emph{videoUrls} de la ligne \ref{ligne:genevideos}, séparées par une virgule.
La méthode le l'API Leaflet pour représenter la vidéo sur la carte est \emph{videoOverlay} visible à la ligne \ref{ligne:videooverlay}. Elle prend pour arguments le tableau de la/des vidéos, la boite des position supérieure-gauche et inférieure-droite de la vidéo et des propriétés comme l'opacité (ligne \ref{ligne:videoopacity}) ou le ratio d'aspect (ligne \ref{ligne:videoaspectratio}). Ce dernier est très utile dans le cas d'une carte dans la vidéo qui n'est pas conforme à Mercator pour déformer au mieux la vidéo pour que les contours des côtes colle au mieux à ceux de la carte sous-jacente.
La méthode le l'API Leaflet pour représenter la vidéo sur la carte est \emph{videoOverlay}, visible à la ligne \ref{ligne:videooverlay}. Elle prend pour arguments le tableau de la/des vidéos, la boite des positions supérieure-gauche et inférieure-droite de la vidéo et des propriétés comme l'opacité (ligne \ref{ligne:videoopacity}) ou le ratio d'aspect (ligne \ref{ligne:videoaspectratio}). Ce dernier est très utile dans le cas d'une carte intégrée dans la vidéo qui n'est pas conforme à Mercator. Il permet de déformer au mieux la vidéo pour que les contours des côtes collent au mieux à ceux de la carte sous-jacente.
\medskip
On constate finalement une grande simplicité à gérer des éléments dynamiques avec Leaflet, que ce soit une image comportant des vecteurs, une vidéo de type GIF ou des vidéos classiques, qui dans tous les cas supportent un réglage de l'opacité très bienvenu sur le fond de carte.
On constate finalement une grande simplicité à gérer des éléments dynamiques avec Leaflet, que ce soit une image comportant des vecteurs, une vidéo de type GIF ou des vidéos classiques, qui dans tous les cas supportent un réglage de l'opacité fort bienvenu sur le fond de carte.
\subsection{Informations}
Notons finalement que les possibilités offertes par Leaflet en terme de présentation de l'information sont très vastes. En particulier, la gestion de l'information à l'intérieur des popups qui s'ouvrent à l'accueil sur la carte ou par un clic sur l'un de ses éléments, n'a pas été abordée ici, pas plus que la personnalisation des icônes de ceux-ci. Le site de Leaflet (voir \cite{Leaflet}) et en particulier ses onglets \emph{Tutorials} et \emph{Docs} vous en diront plus.
Notons finalement que les possibilités offertes par Leaflet en terme de présentation de l'information sont très vastes. C'est le cas en particulier pour la gestion de l'information à l'intérieur des popups qui s'ouvrent à l'accueil sur la carte ou par un clic sur l'un de ses éléments. Ce point n'a pas été abordé ici, pas plus que la personnalisation des icônes de ceux-ci. Le site de Leaflet (voir \cite{Leaflet}) et en particulier ses onglets \emph{Tutorials} et \emph{Docs} vous en diront plus.
\smallskip
Voyons cependant comment mettre en place une légende.
@ -438,15 +438,15 @@ Le résultat est donné à la figure \ref{figure:cartegreatcircle}. On y voit en
\end{figure*}
\section{Conclusion}
Au terme de ce parcours des possibilités offertes par Leaflet, et plus que cela avec les cartes proposées par Mathilde et Hélène, carte des pollutions océaniques (carte de la figure \ref{carte:pollutionoceanique}, page \pageref{carte:pollutionoceanique}) ou ci-dessus la carte statique des gyres océaniques (figure \ref{figure:cartepollutionsgenerale}, page \pageref{figure:cartepollutionsgenerale}), la question est de savoir ce que nous avons appris.
Au terme de ce parcours des possibilités offertes par Leaflet, et plus que cela avec notamment les cartes proposées par Mathilde et Hélène, la carte des pollutions océaniques (carte de la figure \ref{carte:pollutionoceanique}, page \pageref{carte:pollutionoceanique}) ou ci-dessus la carte statique des gyres océaniques (figure \ref{figure:cartepollutionsgenerale}, page \pageref{figure:cartepollutionsgenerale}), la question est de savoir ce que nous avons appris.
Au départ, la démarche engagée par Mathilde et Hélène nous a fait découvrir (ou nous à engagé à nous rappeler) que les gyres de plastiques ou les catastrophes pétrolières sont une réalité bien peu réjouissante qui se cache dans les océans et qu'il est bon d'en tenter la localisation sur une carte à petite échelle pour mieux en comprendre l'importance en terme de surface.
Puis, aux regrets de Mathilde et Hélène de ne pas avoir pu en préciser les formes, nous nous sommes intéressés aux techniques de représentation des éléments cartographiques d'une carte sur le web. Les modes de représentation des objets sur la carte et les variations d'échelle que ce type de carte implique nous ont alors fait découvrir plusieurs langages (Javascrip, Leaflet, SVG, \dots) nécessaires à la constitution des cartes.
Mais, l'étude de ces langages, des formes mises à disposition pour la représentation, nous ont interrogés sur la pertinence de celles-ci dans le cas de gyres. De simples cercles nous sommes passés à une représentation du mouvement des particules plastiques dans les courants océaniques. Encore ne sommes-nous pas allés à une représentation en profondeur, c'est-à-dire dans la troisième dimension des couches liquides océaniques. Mais on s'est bien rendu compte que la compréhension des mouvements des masses d'eau pouvait trouver une explication graphique dans une représentation des fonds océaniques. A la recherche d'une telle représentation, on a pu voir la puissance de Leaflet pour changer à la volée le fond de carte et découvrir que malheureusement, il n'existe pas encore de représentation des fonds océaniques tuilée pour permettre le zoom des cartes web.
Mais, l'étude de ces langages, des formes mises à disposition pour la représentation, nous ont interrogés sur la pertinence de celles-ci dans le cas de gyres. De simples cercles nous sommes passés à une représentation du mouvement des particules plastiques dans les courants océaniques. Encore ne sommes-nous pas allés à une représentation en profondeur, c'est-à-dire dans la troisième dimension des couches liquides océaniques. Mais on s'est bien rendu compte que la compréhension des mouvements des masses d'eau pouvait trouver une explication graphique dans une représentation des fonds océaniques. A la recherche d'une telle représentation, on a pu voir la puissance de Leaflet pour changer à la volée le fond de carte et découvrir que, malheureusement, il n'existe pas encore de représentation des fonds océaniques tuilée pour permettre le zoom des cartes web.
Au final donc, les nécessités de la représentation cartographique nous ont poussés à approfondir de manière conséquente nos connaissances sur le fond des phénomènes que la carte exemplifie. On peut ainsi citer et souligner le titre de l'avant-propos de l'ouvrage \emph{La carte invente le monde} (voir \cite{Picouet} élaboré au c\oe ur de l'Université de Lille.
Au final donc, les nécessités de la représentation cartographique nous ont poussés à approfondir de manière conséquente nos connaissances sur le fond des phénomènes que la carte exemplifie. On peut ainsi citer et souligner le titre de l'avant-propos de l'ouvrage \emph{La carte invente le monde} (voir \cite{Picouet} élaboré au sein de l'Université de Lille).
\begin{quote}
\emph{\textbf{La carte pour tracer un chemin dans des mondes de connaissances.}} \cite[Avant-propos]{Picouet}
\end{quote}

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@ -4,17 +4,17 @@ Umap est un logiciel particulièrement attrayant car il permet d'obtenir relativ
Il permet aussi de travailler sur des sites mis à disposition par une communauté comme \emph{\url{https://umap.openstreetmap.fr}} ou \emph{\url{https://umap.osm.ch/fr/}}. Ces sites rendent la carte immédiatement disponible et il est possible, moyennant inscription, de travailler sur des cartes mises à disposition de tous tout en verrouillant les informations qui s'y trouvent.
Cependant, certains de ces sites ne disposent que d'un nombre limité de fonds de carte et surtout les éléments mis à disposition par Umap restent limités. Ce n'est pas un reproche, et même souvent un avantage rendant simple la création des cartes, mais ne permettant pas toujours de réaliser au mieux des cartes particulières, il peut devenir souhaitable de découvrir des logiciels plus développés.
Cependant, certains de ces sites ne disposent que d'un nombre limité de fonds de carte et surtout les éléments mis à disposition par Umap restent limités. Ce n'est pas pour autant un défaut. Au contraire, il simplifie la création de cartes. Toutefois la réalisation de cartes particulières n'est pas aisée et il peut devenir souhaitable de découvrir des logiciels plus développés.
Par exemple, avec Umap, la taille des icones n'est pas modifiable, il n'existe pas de formes directement circulaires \dots
\smallskip
Ainsi, pour de la cartographie orientée vers le web, des solutions plus évoluées existent. Cependant, celles-ci sont évidemment moins facile à mettre en \oe uvre. L'une de celles-ci, entre les deux extrêmes que sont Umap et le triptyque \emph{PostGIS, OpenLayers et MapServer} (voir \cite{Collado}), se nomme \emph{Leaflet}.
Différents documents d'introduction sont disponibles sur le net. Parmi ceux-ci, il faut relever \emph{Des cartes sur votre site} d'Eskimon (voir \cite{Eskimon}) qui est non seulement intéressante de part la clarté de son introduction, mais aussi par le fait que celle-ci est fourni en pdf, epub et tex sous licence libre. De même pour une utilisation avancée de Leaflet avec le même site \emph{\url{https://zestedesavoir.com/rechercher/?q=leaflet}} et l'article \emph{Leaflet - Utilisation avancée} (voir \cite{Shevek}). Ces document sont assez bien faits pour qu'il ne soit pas nécessaire de produire ici une véritable introduction à Leaflet.
Différents documents d'introduction sont disponibles sur le net. Parmi ceux-ci, il faut relever \emph{Des cartes sur votre site} d'Eskimon (voir \cite{Eskimon}) qui est non seulement intéressante de par la clarté de son introduction, mais aussi par le fait que celle-ci est fournie en pdf, epub et tex sous licence libre. De même pour une utilisation avancée de Leaflet avec le même site \emph{\url{https://zestedesavoir.com/rechercher/?q=leaflet}} et l'article \emph{Leaflet - Utilisation avancée} (voir \cite{Shevek}). Ces document sont assez bien faits pour qu'il ne soit pas nécessaire de produire ici une véritable introduction à Leaflet.
\smallskip
Nous allons plutôt nous concentrer sur un exemple particulier. Il s'agit de la carte des pollutions océaniques présentée ci-dessus (voir \ref{para:pollutionsoceaniques}). L'objectif n'est certainement pas une critique de ce travail qui est pour nous excellent. Il s'agit de présenter ce que Leaflet peut apporter à un travail où, de l'aveu même des auteures, les outils proposés par Umap on montré leurs limites, tout en présentant rapidement la philosophie de Leaflet.
Nous allons plutôt nous concentrer sur un exemple particulier. Il s'agit de la carte des pollutions océaniques présentée ci-dessus (voir \ref{para:pollutionsoceaniques}). L'objectif n'est certainement pas une critique de ce travail qui est pour nous excellent. Il s'agit de présenter ce que Leaflet peut apporter à un travail où, de l'aveu même des auteures, les outils proposés par Umap ont montré leurs limites, tout en présentant rapidement la philosophie de Leaflet.
\section{Structure}
Leaflet est une surcouche \emph{Javascript} à un site ordinaire écrit en HTML et CSS. Il est donc nécessaire de disposer d'un serveur web pour y intégrer les pages réalisées avec lui.
@ -44,7 +44,7 @@ Ainsi la structure de la carte sur les pollutions océaniques est-elle celle du
</html>
\end{lstlisting}
Est associée à la page HTML5, une page CSS3 et un fichier Javascript. La feuille de style associée est celle présenté dans le code \ref{listing:css}.
Est associée à la page HTML5, une page CSS3 et un fichier Javascript. La feuille de style associée est celle présentée dans le code \ref{listing:css}.
\begin{lstlisting}[float,language=CSS,caption={La feuille de style de la carte.},label={listing:css},numbers=left, numberstyle=\tiny,numbersep=6pt]
#map {
/* les dimensions de la carte sur tout le viewport */
@ -83,7 +83,7 @@ document.getElementById('body').onload = function(){
Le code \ref{listing:js} permet de placer sur la page un fond de carte \emph{Watercolor} de \href{https://stamen.com/open-source/}{Stamen} sur des données \href{https://www.openstreetmap.org}{OpenStreetMap} par instanciation de l'objet \emph{map}. Cela est réalisé à la ligne \ref{ligne:stamen}. Mais il est aussi prévu la possibilité de choisir un fond de carte OpenStreetMap à la ligne \ref{ligne:osm}.
\smallskip
Le choix du fond de carte Watercolor est celui du groupe des pollutions océaniques. Il est maintenu ici, mais on se demandera par la suite s'il est possible d'en changer au profit d'un fond représentant mieux le fond océanique. En effet, c'est en partie ce dernier qui contraint les mouvement d'eau et construit ainsi les gyres.
Le choix du fond de carte Watercolor est celui du groupe des pollutions océaniques. Il est maintenu ici, mais on se demandera par la suite s'il est possible d'en changer au profit d'un fond représentant mieux le fond océanique. En effet, c'est en partie ce dernier qui contraint les mouvements d'eau et construit ainsi les gyres.
\section{Marqueurs}
La notion de marqueurs recouvre essentiellement deux types d'éléments~:
@ -124,7 +124,7 @@ Pour illustrer différents types de marqueurs disponibles avec Leaflet, la figur
\item des cercles dont les centres sont en latitude-longitude, mais dont les rayons sont donnés en mètres et des rectangles pleins dont les coordonnées sont exprimés en pixels d'écran.
\end{itemize}
L'ensemble de ces marqueurs permet de se rendre compte de la variété des problèmes qu'on peut rencontrer lors du placement de figures sur un projection de Merkator dont l'emprise (la zone visible à l'écran) change en fonction du niveau de zoom.
L'ensemble de ces marqueurs permet de se rendre compte de la variété des problèmes qu'on peut rencontrer lors du placement de figures sur une projection de Mercator dont l'emprise (la zone visible à l'écran) change en fonction du niveau de zoom.
\subsection{Lignes}
Commençons par expliciter les lignes et leurs marqueurs. Le code \ref{listing:lignes} en présente la structure.
@ -137,16 +137,16 @@ var polyline = L.polyline(latlngs, {color: 'green'}).addTo(map)(*@\label{ligne:p
offset: [60,0](*@\label{ligne:offset}@*)
});
\end{lstlisting}
La variable \emph{latlngs} déclare deux points en latitude-longitude qui seront les extrémités de la ligne (ligne \ref{ligne:latlngs}). On construit ensuite dans la variable \emph{polyline} une ligne placés selon la variable latlngs et de couleur verte qu'on ajoute à la carte (ligne \ref{ligne:polyline}). À ce niveau, la ligne apparaît sur la carte.
La variable \emph{latlngs} déclare deux points en latitude-longitude qui seront les extrémités de la ligne (ligne \ref{ligne:latlngs}). On construit ensuite dans la variable \emph{polyline} une ligne placée selon la variable latlngs et de couleur verte qu'on ajoute à la carte (ligne \ref{ligne:polyline}). À ce niveau, la ligne apparaît sur la carte.
En utilisant la méthode \emph{bindTooltip} sur cette polyline (ligne \ref{ligne:tooltip}), on peut alors définir le texte du marqueur et ses caractéristiques, dont le décalace de celui-ci par rapport au centre de la ligne (l'offset de la ligne \ref{ligne:offset}). Attention, ce dernier n'est pas spécifié en degré de latitude-longitude, mais en pixels de l'écran.
En utilisant la méthode \emph{bindTooltip} sur cette polyline (ligne \ref{ligne:tooltip}), on peut alors définir le texte du marqueur et ses caractéristiques, dont le décalace de celui-ci par rapport au centre de la ligne (l'offset de la ligne \ref{ligne:offset}). Attention, ce dernier n'est pas spécifié en degrés de latitude-longitude, mais en pixels de l'écran.
Ainsi définis, ces lignes et marqueurs auront un comportement de deux types. La ligne, ainsi que la position du marqueur, resteront parfaitement \emph{fixes sur la carte} à toutes les échelles (selon tous les facteurs de zoom). Le texte, par contre ne suivra pas le zoom. En d'autres termes, sa taille restera fixe par rapport à l'écran.
Toutes les commandes utilisées pour réaliser ces lignes font partie du jeux de commandes de Leaflet (son API, l'interface de programmation de l'application). Aucun plugin n'est nécessaire et toutes ces commandes sont décrites dans la documentation. Mais attention à l'ambiguïté de la notation [..., ...] dont les composantes peuvent s'exprimer en latitude-longitude \emph{ou} en pixelssurX-pixelssurY (notez l'inversion puisque le premier nombre n'est pas la longitude).
Toutes les commandes utilisées pour réaliser ces lignes font partie du jeu de commandes de Leaflet (son API, l'interface de programmation de l'application). Aucun plugin n'est nécessaire et toutes ces commandes sont décrites dans la documentation. Mais attention à l'ambiguïté de la notation [..., ...] dont les composantes peuvent s'exprimer en latitude-longitude \emph{ou} en pixelssurX-pixelssurY (notez l'inversion puisque le premier nombre n'est pas la longitude).
\subsection{Rectangles}
Les rectangles dont le fond est transparent sont aussi des éléments de l'API de Leaflet. Les paramètres nécessaires à leur construction étant les coordonnées latitude-longitude des sommets, on voit apparaître leur déformation typique de la projection de Merkator. Celle-ci se fait en latitude, mais aussi en longitude, contrairement à ce qu'on pourrait penser en raison du parallélisme équidistant des méridiens. En effet, si la déformation en latitude est évidente, la longueur réelle des côtés \og horizontaux \fg{}, sur la carte (c'est-à-dire sur la projection) d'égale longueur, est inférieure en réalité pour le côté de plus grande latitude à celle de plus faible latitude.
Les rectangles dont le fond est transparent sont aussi des éléments de l'API de Leaflet. Les paramètres nécessaires à leur construction étant les coordonnées latitude-longitude des sommets, on voit apparaître leur déformation typique de la projection de Mercator. Celle-ci se fait en latitude, mais aussi en longitude, contrairement à ce qu'on pourrait penser en raison du parallélisme équidistant des méridiens. En effet, si la déformation en latitude est évidente, la longueur réelle des côtés \og horizontaux \fg{}, sur la carte (c'est-à-dire sur la projection) d'égale longueur, est inférieure en réalité pour le côté de plus grande latitude à celle de plus faible latitude.
Les instructions permettant de tracer ces rectangles sont celles du code \ref{listing:rectangles}. Relevez que la couleur du fond transparent est celle par défaut.
@ -159,7 +159,7 @@ var polygon = L.polygon([
\subsection{Cercles}\label{cercles}
Les cercles présentent un élément différent des rectangles, en ce sens que, si leurs centres sont positionnés en latitude-longitude (tous les 20\degres), leur rayon est identique pour chacun et donné en mètres.
Le résultat graphique sur la carte est une série de cercles dont le rayon augmente avec la latitude. Si, à l'instar des rectangles, on comprend bien que cela soit le cas avec la latitude, on pouvait s'attendre à ce qu'il n'en soit pas ainsi avec la longitude. Comment expliquer que cela ne soit pas le cas ? Dans une projection de Merkator, les méridiens sont des lignes droites équidistants. Ce qui n'est évidemment pas le cas sur le globe terrestre, puisque tous ses méridiens se rejoignent aux pôles. La distance vraie entre deux méridiens diminue donc avec la latitude. En effectuant une projection de Merkator qui \og redresse \fg{} les méridiens pour qu'il soient parallèles les uns aux autres, on augmente donc les distances sur la projection en fonction de la latitude, ce qui a pour effet d'augmenter le rayon du cercle entre deux méridiens en même proportion qu'entre deux grands cercles. Le résultat se présente donc sous la forme de cercles dont le rayon augmente avec la latitude.
Le résultat graphique sur la carte est une série de cercles dont le rayon augmente avec la latitude. Si, à l'instar des rectangles, on comprend bien que cela soit le cas avec la latitude, on pouvait s'attendre à ce qu'il n'en soit pas ainsi avec la longitude. Comment expliquer que cela ne soit pas le cas ? Dans une projection de Mercator, les méridiens sont des lignes droites équidistantes. Ce qui n'est évidemment pas le cas sur le globe terrestre, puisque tous ses méridiens se rejoignent aux pôles. La distance vraie entre deux méridiens diminue donc avec la latitude. En effectuant une projection de Mercator qui \og redresse \fg{} les méridiens pour qu'ils soient parallèles les uns aux autres, on augmente donc les distances sur la projection en fonction de la latitude, ce qui a pour effet d'augmenter le rayon du cercle entre deux méridiens en même proportion qu'entre deux grands cercles. Le résultat se présente donc sous la forme de cercles dont le rayon augmente avec la latitude.
Les instructions permettant de tracer ces cercles sont celles du code \ref{listing:cercles}. Relevez que la couleur du fond transparent est définie à la ligne \ref{ligne:couleurfond}.
@ -177,7 +177,7 @@ Les deux éléments principaux de ce code sont la définition du rayon (ligne \r
\subsection{Rectangles SVG}
L'API de Leaflet est limitée dans les formes de base utilisables qui sont le point, la polyline (dont la droite), le polygone, le cercle et le rectangle.
L'API de Leaflet est limitée dans les formes de base utilisables que sont le point, la polyline (dont la droite), le polygone, le cercle et le rectangle.
Pour des formes plus complexes, on est donc naturellement amené à penser à l'utilisation du dessin vectoriel comme SVG (\href{https://developer.mozilla.org/fr/docs/Web/SVG}{Scalable Vector Graphics}), puisque les navigateurs modernes supportent maintenant bien ce langage.
@ -189,7 +189,7 @@ Leaflet utilise donc trois systèmes de coordonnées qu'il faut bien comprendre
\section{Pollutions}
Les problèmes posés par la carte des pollutions réalisées par Mathilde et Hélène sont nombreux~:
\begin{enumerate}
\item la petite échelle de la carte qui la déforme assez pour que la représentation des gyres en soient affectée,
\item la petite échelle de la carte qui la déforme assez pour que la représentation des gyres en soit affectée,
\item le fond de carte qui devrait permettre de comprendre les gyres,
\item la forme des gyres qui physiquement est difficile à connaître et graphiquement difficile à bien représenter pour qu'elles correspondent au mieux à des courants océaniques,
\item le mouvement de celles-ci et
@ -200,14 +200,14 @@ Tous ces problèmes se traduisent par des difficultés techniques qui sont toute
\subsection{Échelle}
La petite échelle de la carte utilisée pour la carte des pollutions constitue la première interrogation. Dans quelle mesure influence-t-elle la représentation des gyres ? La réponse à cette question tient dans la connaissance du type de projection utilisée par défaut par Leaflet.
Toutes les projections cartographiques sur le web utilisent la même projection dite \emph{Webmercator}, \emph{Pseudomercator}, \emph{Mercator sphérique} et, officiellement, \emph{WGS 84 Web Mercator}\footnote{Elle est aussi dénommée Google Web Mercator, mais étant non conforme, elle n'est semble-t-il officiellement pas reconnue (voir \href{https://en.wikipedia.org/wiki/Web\_Mercator\_projection}{Wikipedia})}. Cette projection est complexe, car s'il s'agit bien d'une projection de Mercator, elle utilise des données provenant d'un géoïde non sphérique, contrairement à ce que sa dénomination peut faire penser. De plus, elle n'est ni conforme, ni équivalente, c'est-à-dire qu'elle ne conserve respectivement ni les angles, ni les surfaces, alors que la transformation de Mercator est conforme. Vous trouverez en annexe \ref{annexe:projectionmercator} une description plus détaillé de la projection de Mercator, dont notamment son indicatrice de déformation des surfaces. Car, la transformation de Mercator, comme wGS 84 Web Mercator, déforme les formes hors équateur, surtout au niveau des régions de grande latitude.
Toutes les projections cartographiques sur le web utilisent la même projection dite \emph{Webmercator}, \emph{Pseudomercator}, \emph{Mercator sphérique} et, officiellement, \emph{WGS 84 Web Mercator}\footnote{Elle est aussi dénommée Google Web Mercator, mais étant non conforme, elle n'est semble-t-il officiellement pas reconnue (voir \href{https://en.wikipedia.org/wiki/Web\_Mercator\_projection}{Wikipedia})}. Cette projection est complexe, car s'il s'agit bien d'une projection de Mercator, elle utilise des données provenant d'un géoïde non sphérique, contrairement à ce que sa dénomination peut faire penser. De plus, elle n'est ni conforme, ni équivalente, c'est-à-dire qu'elle ne conserve respectivement ni les angles, ni les surfaces, alors que la transformation de Mercator est conforme. Vous trouverez en annexe \ref{annexe:projectionmercator} une description plus détaillé de la projection de Mercator, dont notamment son indicatrice de déformation des surfaces. Car, la transformation de Mercator comme wGS 84 Web Mercator, déforme les formes hors équateur, surtout au niveau des régions de grande latitude.
Ainsi, représenter une gyre sur une carte à petite échelle ne permettra pas de la représenter correctement de part la nature de la projection utilisée.
Ainsi, représenter une gyre sur une carte à petite échelle ne permettra pas de la représenter correctement de par la nature de la projection utilisée.
\subsection{Fond de carte}
Le fond de carte choisi pour cette carte des pollutions plastiques est \emph{Watercolor} (voir \cite{Stamen}). Si celui-ci est certainement très esthétique et bien choisi par contraste avec le propos du travail, il n'est pas un fond permettant de mettre en évidence la raison des gyres.
Après des recherches pour trouver un fond de carte libre de droit utilisable avec Leaflet (ou même Umap) qui représente le fond des océans, il se trouve que si de projets pour réaliser une telle carte sont en cours, il n'y a pas actuellement de fonds, c'est à dire de tuiles pour les différentes échelles, disponibles dans ces conditions. Il ne suffit pas évidemment d'une image des fonds marins.
Après des recherches pour trouver un fond de carte libre de droit utilisable avec Leaflet (ou même Umap) qui représente le fond des océans, il se trouve que si des projets pour réaliser une telle carte sont en cours, il n'y a pas actuellement de fonds, c'est à dire de tuiles pour les différentes échelles, disponibles dans ces conditions. Une image des fonds marins ne suffit évidemment pas.
\subsection{Forme}
À ce stade, il convient de présenter ce qu'il est possible de faire avec Leaflet pour aller plus loin que la carte des pollutions océaniques. La figure \ref{figure:cartepollutionsgenerale}, page \pageref{figure:cartepollutionsgenerale}, la présente sous une forme statique.
@ -217,7 +217,7 @@ Après des recherches pour trouver un fond de carte libre de droit utilisable av
\caption{La carte statique des gyres océaniques.\label{figure:cartepollutionsgenerale}}
\end{sidewaysfigure*}
Cette carte comprends plusieurs éléments qui vont du plus simple au plus complexe. Commençons par la \emph{Gyre du Pacifique Sud}. Il s'agit simplement d'un cercle dont on voit la déformation en longitude relative à la projection de Mercator. Le code correspondant est celui du listing \ref{listing:cartegenecercle}.
Cette carte comprend plusieurs éléments qui vont du plus simple au plus complexe. Commençons par la \emph{Gyre du Pacifique Sud}. Il s'agit simplement d'un cercle dont on voit la déformation en longitude relative à la projection de Mercator. Le code correspondant est celui du listing \ref{listing:cartegenecercle}.
\begin{lstlisting}[float,language=Javascript,caption={La gyre Pacifique Sud.},label={listing:cartegenecercle}, numbers=left, numberstyle=\tiny,numbersep=1pt]
var rayon = 3000000
@ -317,7 +317,7 @@ var imageOverlay = L.imageOverlay(imageUrl, latLngBounds, {
});
\end{lstlisting}
Bien entendu, l'idéal serait de récupérer les données (position, sens, direction et grandeur) numériques de ces courants et de les projeter sur la carte dans une couche vectorielle et non par une image bitmap. C'est possible, mais dépasse le cadre de cette petite présentation de Leaflet.
Bien entendu, l'idéal serait de récupérer les données (position, sens, direction et grandeur) numériques de ces courants et de les projeter sur la carte dans une couche vectorielle et non par une image bitmap. C'est possible, mais cela dépasse le cadre de cette petite présentation de Leaflet.
\medskip
Encore plus intéressant est la vidéo représentant les mouvement océaniques de la gyre de l'Atlantique Nord. Les données sont celles de la NASA (voir \cite{NASA}). La vidéo qui se trouve sur la carte est une simulation du mouvement de bouées en Atlantique Nord, basée sur l'étude de bouées réelles. Comme le dit la NASA~:
@ -325,7 +325,7 @@ Encore plus intéressant est la vidéo représentant les mouvement océaniques d
We distributed thousands of particles (virutal buoys) aroung the world, then ran a simulation based on the ECCO2 flow vectors to see where those particles would move to over time. These simulated particles were colored blue/cyan based on the paricle's speed. Notice that over time garbage patches develop in each of the ocean basins. \cite{NASA}
\end{quotation}
Pour une comparaison entre le modèle numérique et les bouées réelles, voyez la référence. Comme le propos ici n'est pas de discuter des éléments scientifiques qui expliquent les gyres, mais de montrer que Leaflet permet différentes représentations de celles-ci, d'une vidéo sur l'ensemble des gyres mondiales, seule la gyre de l'Atlantique Nord a été extraite par découpage avec le logiciel libre OpenShot et seules la partie simulation a été sélectionnée.
Pour une comparaison entre le modèle numérique et les bouées réelles, voyez la référence. Comme le propos ici n'est pas de discuter des éléments scientifiques qui expliquent les gyres, mais de montrer que Leaflet permet différentes représentations de celles-ci, de la vidéo sur l'ensemble des gyres mondiales, seule la gyre de l'Atlantique Nord a été extraite par découpage avec le logiciel libre OpenShot et seule la partie simulation a été sélectionnée.
La manière d'introduire cette vidéo sur la carte est présentée dans le code \ref{listing:cartegenebouees}.
@ -345,15 +345,15 @@ var videoOverlay = L.videoOverlay(videoUrls, latLngBounds, {(*@\label{ligne:vide
}).addTo(map);
\end{lstlisting}
Plusieurs vidéos peuvent être jouées successivement, auquel cas elles doivent être spécifiées dans le tableau \emph{videoUrls} de la ligne \ref{ligne:genevideos}, séparées par une virgule.
Plusieurs vidéos peuvent être lancées successivement. Dans ce cas, elles doivent être spécifiées dans le tableau \emph{videoUrls} de la ligne \ref{ligne:genevideos}, séparées par une virgule.
La méthode le l'API Leaflet pour représenter la vidéo sur la carte est \emph{videoOverlay} visible à la ligne \ref{ligne:videooverlay}. Elle prend pour arguments le tableau de la/des vidéos, la boite des position supérieure-gauche et inférieure-droite de la vidéo et des propriétés comme l'opacité (ligne \ref{ligne:videoopacity}) ou le ratio d'aspect (ligne \ref{ligne:videoaspectratio}). Ce dernier est très utile dans le cas d'une carte dans la vidéo qui n'est pas conforme à Mercator pour déformer au mieux la vidéo pour que les contours des côtes colle au mieux à ceux de la carte sous-jacente.
La méthode le l'API Leaflet pour représenter la vidéo sur la carte est \emph{videoOverlay}, visible à la ligne \ref{ligne:videooverlay}. Elle prend pour arguments le tableau de la/des vidéos, la boite des positions supérieure-gauche et inférieure-droite de la vidéo et des propriétés comme l'opacité (ligne \ref{ligne:videoopacity}) ou le ratio d'aspect (ligne \ref{ligne:videoaspectratio}). Ce dernier est très utile dans le cas d'une carte intégrée dans la vidéo qui n'est pas conforme à Mercator. Il permet de déformer au mieux la vidéo pour que les contours des côtes collent au mieux à ceux de la carte sous-jacente.
\medskip
On constate finalement une grande simplicité à gérer des éléments dynamiques avec Leaflet, que ce soit une image comportant des vecteurs, une vidéo de type GIF ou des vidéos classiques, qui dans tous les cas supportent un réglage de l'opacité très bienvenu sur le fond de carte.
On constate finalement une grande simplicité à gérer des éléments dynamiques avec Leaflet, que ce soit une image comportant des vecteurs, une vidéo de type GIF ou des vidéos classiques, qui dans tous les cas supportent un réglage de l'opacité fort bienvenu sur le fond de carte.
\subsection{Informations}
Notons finalement que les possibilités offertes par Leaflet en terme de présentation de l'information sont très vastes. En particulier, la gestion de l'information à l'intérieur des popups qui s'ouvrent à l'accueil sur la carte ou par un clic sur l'un de ses éléments, n'a pas été abordée ici, pas plus que la personnalisation des icônes de ceux-ci. Le site de Leaflet (voir \cite{Leaflet}) et en particulier ses onglets \emph{Tutorials} et \emph{Docs} vous en diront plus.
Notons finalement que les possibilités offertes par Leaflet en terme de présentation de l'information sont très vastes. C'est le cas en particulier pour la gestion de l'information à l'intérieur des popups qui s'ouvrent à l'accueil sur la carte ou par un clic sur l'un de ses éléments. Ce point n'a pas été abordé ici, pas plus que la personnalisation des icônes de ceux-ci. Le site de Leaflet (voir \cite{Leaflet}) et en particulier ses onglets \emph{Tutorials} et \emph{Docs} vous en diront plus.
\smallskip
Voyons cependant comment mettre en place une légende.
@ -438,15 +438,15 @@ Le résultat est donné à la figure \ref{figure:cartegreatcircle}. On y voit en
\end{figure*}
\section{Conclusion}
Au terme de ce parcours des possibilités offertes par Leaflet, et plus que cela avec les cartes proposées par Mathilde et Hélène, carte des pollutions océaniques (carte de la figure \ref{carte:pollutionoceanique}, page \pageref{carte:pollutionoceanique}) ou ci-dessus la carte statique des gyres océaniques (figure \ref{figure:cartepollutionsgenerale}, page \pageref{figure:cartepollutionsgenerale}), la question est de savoir ce que nous avons appris.
Au terme de ce parcours des possibilités offertes par Leaflet, et plus que cela avec notamment les cartes proposées par Mathilde et Hélène, la carte des pollutions océaniques (carte de la figure \ref{carte:pollutionoceanique}, page \pageref{carte:pollutionoceanique}) ou ci-dessus la carte statique des gyres océaniques (figure \ref{figure:cartepollutionsgenerale}, page \pageref{figure:cartepollutionsgenerale}), la question est de savoir ce que nous avons appris.
Au départ, la démarche engagée par Mathilde et Hélène nous a fait découvrir (ou nous à engagé à nous rappeler) que les gyres de plastiques ou les catastrophes pétrolières sont une réalité bien peu réjouissante qui se cache dans les océans et qu'il est bon d'en tenter la localisation sur une carte à petite échelle pour mieux en comprendre l'importance en terme de surface.
Puis, aux regrets de Mathilde et Hélène de ne pas avoir pu en préciser les formes, nous nous sommes intéressés aux techniques de représentation des éléments cartographiques d'une carte sur le web. Les modes de représentation des objets sur la carte et les variations d'échelle que ce type de carte implique nous ont alors fait découvrir plusieurs langages (Javascrip, Leaflet, SVG, \dots) nécessaires à la constitution des cartes.
Mais, l'étude de ces langages, des formes mises à disposition pour la représentation, nous ont interrogés sur la pertinence de celles-ci dans le cas de gyres. De simples cercles nous sommes passés à une représentation du mouvement des particules plastiques dans les courants océaniques. Encore ne sommes-nous pas allés à une représentation en profondeur, c'est-à-dire dans la troisième dimension des couches liquides océaniques. Mais on s'est bien rendu compte que la compréhension des mouvements des masses d'eau pouvait trouver une explication graphique dans une représentation des fonds océaniques. A la recherche d'une telle représentation, on a pu voir la puissance de Leaflet pour changer à la volée le fond de carte et découvrir que malheureusement, il n'existe pas encore de représentation des fonds océaniques tuilée pour permettre le zoom des cartes web.
Mais, l'étude de ces langages, des formes mises à disposition pour la représentation, nous ont interrogés sur la pertinence de celles-ci dans le cas de gyres. De simples cercles nous sommes passés à une représentation du mouvement des particules plastiques dans les courants océaniques. Encore ne sommes-nous pas allés à une représentation en profondeur, c'est-à-dire dans la troisième dimension des couches liquides océaniques. Mais on s'est bien rendu compte que la compréhension des mouvements des masses d'eau pouvait trouver une explication graphique dans une représentation des fonds océaniques. A la recherche d'une telle représentation, on a pu voir la puissance de Leaflet pour changer à la volée le fond de carte et découvrir que, malheureusement, il n'existe pas encore de représentation des fonds océaniques tuilée pour permettre le zoom des cartes web.
Au final donc, les nécessités de la représentation cartographique nous ont poussés à approfondir de manière conséquente nos connaissances sur le fond des phénomènes que la carte exemplifie. On peut ainsi citer et souligner le titre de l'avant-propos de l'ouvrage \emph{La carte invente le monde} (voir \cite{Picouet} élaboré au c\oe ur de l'Université de Lille.
Au final donc, les nécessités de la représentation cartographique nous ont poussés à approfondir de manière conséquente nos connaissances sur le fond des phénomènes que la carte exemplifie. On peut ainsi citer et souligner le titre de l'avant-propos de l'ouvrage \emph{La carte invente le monde} (voir \cite{Picouet} élaboré au sein de l'Université de Lille).
\begin{quote}
\emph{\textbf{La carte pour tracer un chemin dans des mondes de connaissances.}} \cite[Avant-propos]{Picouet}
\end{quote}

View File

@ -97,9 +97,6 @@
\setcounter{lownamepenalty}{25}
\setcounter{maxparens}{3}
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\setcounter{blx@maxsection}{0}
\setcounter{blx@maxsegment@0}{0}
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\setcounter{maxcomprange}{100000}
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View File

@ -146,6 +146,6 @@ La gestion des informations des informations apparaissant au chargement du site
\bigskip
Xia est un logiciel très intéressant pour créer des cartes sans géométrie. Évidemment, il est contraignant dans la forme produite et si on ne connaît pas le langage HTML, il sera impossible d'en changer. Cependant, son couplage avec Inkscape est très intéressant et sa facilité d'utilisation va permettre de réaliser des cartes cliquables tout-à-fait pertinente et dont la publication sur internet ne posera que peu de problèmes (attention, le code créé par Xia n'est pas responsive et les cartes qu'il produit peuvent ne pas fonctionner sur certains écrans).
Si on accepte de mettre quelque peu la main dans le code HTML, les sites fournis par Xia seront une bonne base pour une personnalisation plus avancée qui
Si on accepte de mettre quelque peu la main dans le code HTML, les sites fournis par Xia seront une bonne base pour une personnalisation plus avancée qui passera par la maîtrise du HTML.
\section{Map Wraper}

View File

@ -95,9 +95,6 @@
\setcounter{lownamepenalty}{25}
\setcounter{maxparens}{3}
\setcounter{parenlevel}{0}
\setcounter{blx@maxsection}{0}
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\setcounter{mincompwidth}{1}

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@ -5,7 +5,7 @@ Cette annexe a pour but de se familiariser avec les bases de la projection de Me
Au préalable, c'est à la projection cylindrique équidistante ou projection équirectangulaire ou projection géographique que nous allons nous intéresser.
\section{Équirectangulaire}
Sa simplicité apparente en fait un bon point de départ pour appréhender l'intérêt de la projection de Mercator. Un projection équirectangulaire \dots
Sa simplicité apparente en fait un bon point de départ pour appréhender l'intérêt de la projection de Mercator. Une projection équirectangulaire \dots
\begin{quotation}
\textit{[\dots] se définit (partiellement) comme une projection de la surface du globe sur la surface d'un cylindre, dont l'axe se confond avec l'axe des pôles et contient les origines des vecteurs de projection. Les méridiens sont alors projetés sur des lignes verticales espacées de manière égale, et les parallèles sont aussi projetés sur des lignes horizontales équidistantes (espacement horizontal constant). Ce dernier point différencie cette projection de la projection de Mercator. De plus, contrairement à la projection de Mercator, la projection cylindrique équidistante n'est pas conforme. Elle n'est pas non plus équivalente, mais aphylactique (elle conserve les distances le long des méridiens, d'où le nom « projection cylindrique équidistante »).} \href{https://fr.wikipedia.org/wiki/Projection_cylindrique\_\%C3\%A9quidistante}{Wikipedia}.
\end{quotation}
@ -22,9 +22,9 @@ Cette projection est intéressante, car, si elle est centrée sur l'équateur et
x&=\lambda\\
y&=\phi
\end{align*}
\(\lambda\), \(\phi\), x et y sont respectivement la longitude, la latitude, la position sur l'abscisse et y la position sur l'ordonnée.
\(\lambda\), \(\phi\), x et y sont respectivement la longitude, la latitude, la position sur l'abscisse et la position sur l'ordonnée.
Cette transformation ne conserve ni les angles, elle est non conforme, ni les aires, elle est non équivalente. Mais elle préserve les distances sur les méridiens, mais pas sur les grands cercles. La figure \ref{figure:indicatriceequirectangulaire} donne son indicatrice de Tissot (voir \href{https://fr.wikipedia.org/wiki/Projection\_cylindrique\_\%C3\%A9quidistante}{Wikipedia}), une représentation visuelle des déformations qu'elle produit. On voit que le rayon vertical des ellipses présentées demeure constant, alors que celui horizontal change.
Cette transformation ne conserve ni les angles, elle est non conforme, ni les aires, elle est non équivalente. Elle préserve certes les distances sur les méridiens, mais pas sur les grands cercles. La figure \ref{figure:indicatriceequirectangulaire} donne son indicatrice de Tissot (voir \href{https://fr.wikipedia.org/wiki/Projection\_cylindrique\_\%C3\%A9quidistante}{Wikipedia}), une représentation visuelle des déformations qu'elle produit. On voit que le rayon vertical des ellipses présentées demeure constant, alors que sa composante horizontale change.
\begin{figure}
\centering
@ -55,12 +55,12 @@ Avec une projection de Mercator (conforme), une loxodromie est transformée en l
\medskip
Mais comment la construire ? Si avec une projection équirectangulaire la transformation mathématique est évidente, avec une projection de Mercator, c'est loin d'être le cas.
Le travail de Mercator a été réalisé avant la découverte du calcul infinitésimal puisque sa carte a été publiée en 1569. Comme les relations mathématiques qui traduisent cette projection ne peuvent être déterminée qu'avec une équation différentielle, c'est par une construction réalisée par pas qu'elle a pu se faire.
Le travail de Mercator a été réalisé avant la découverte du calcul infinitésimal puisque sa carte a été publiée en 1569. Comme les relations mathématiques qui traduisent cette projection ne peuvent être déterminée qu'avec une équation différentielle, c'est par une construction réalisée par des pas de calculs discrets, qu'elle a pu se faire.
\subsection{Mathématiquement}
On peut obtenir la transformation de Mercator en partant du fait qu'elle est conforme. Comme les angles sont préservée, il existe une homothétie entre un rectangle sur la sphère et sa projection sur la carte. Même si un rectangle sur la sphère n'est pas une figure plane, d'un point de vue infinitésimal on peut considérer que c'est le cas. Une véritable homothétie existe donc entre le rectangle formé de petits arcs de cercles sur la sphère et le rectangle plan de la carte.
On peut obtenir la transformation de Mercator en partant du fait qu'elle est conforme. Comme les angles sont préservés, il existe une homothétie entre un rectangle sur la sphère et sa projection sur la carte. Même si un rectangle sur la sphère n'est pas une figure plane, d'un point de vue infinitésimal on peut considérer que c'est le cas. Une véritable homothétie existe donc entre le rectangle formé de petits arcs de cercles sur la sphère et le rectangle plan de la carte.
Ainsi, si on note dx, dy les côtés du rectangle sur la carte et dl, dL les côtés en longitude, Latitude respectivement du rectangle sur le globe, la relation d'homothétie s'écrit alors~:
Ainsi, si on note dx, dy les côtés du rectangle sur la carte et dl, dL les côtés en longitude et respectivement latitude du rectangle sur le globe, la relation d'homothétie s'écrit alors~:
\begin{equation}
\frac{dy}{dx}=\frac{dL}{dl}
\end{equation}
@ -115,7 +115,7 @@ y(\phi)=c\cdot(ln(tan(\frac{\pi}{4}+\frac{\phi}{2})))
Pour d'autres propriétés et quelques calculs très bien faits, consultez \cite{Rousseau}.
\section{Indicatrice}
Voici avec la figure \ref{figure:indicatricemercator} l'indicatrice de la transformation de Mercator qui montre bien la déformation en latitude et celle en longitude, cette dernière étant due au redressement des méridiens qui normalement convergent aux pôles (voir paragraphe \ref{cercles}).
Voici avec la figure \ref{figure:indicatricemercator} l'indicatrice de la transformation de Mercator qui montre bien les déformations en latitude et longitude, cette dernière étant due au redressement des méridiens qui normalement convergent aux pôles (voir paragraphe \ref{cercles}).
\begin{figure}[ht]
\centering

124
chapitres/annexe3.tex.bak Normal file
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@ -0,0 +1,124 @@
\chapter{La projection de Mercator}\label{annexe:projectionmercator}
Cette annexe a pour but de se familiariser avec les bases de la projection de Mercator.
Au préalable, c'est à la projection cylindrique équidistante ou projection équirectangulaire ou projection géographique que nous allons nous intéresser.
\section{Équirectangulaire}
Sa simplicité apparente en fait un bon point de départ pour appréhender l'intérêt de la projection de Mercator. Une projection équirectangulaire \dots
\begin{quotation}
\textit{[\dots] se définit (partiellement) comme une projection de la surface du globe sur la surface d'un cylindre, dont l'axe se confond avec l'axe des pôles et contient les origines des vecteurs de projection. Les méridiens sont alors projetés sur des lignes verticales espacées de manière égale, et les parallèles sont aussi projetés sur des lignes horizontales équidistantes (espacement horizontal constant). Ce dernier point différencie cette projection de la projection de Mercator. De plus, contrairement à la projection de Mercator, la projection cylindrique équidistante n'est pas conforme. Elle n'est pas non plus équivalente, mais aphylactique (elle conserve les distances le long des méridiens, d'où le nom « projection cylindrique équidistante »).} \href{https://fr.wikipedia.org/wiki/Projection_cylindrique\_\%C3\%A9quidistante}{Wikipedia}.
\end{quotation}
La figure \ref{figure:equirectangulaire} présente la situation.
\begin{figure*}
\centering
\includegraphics[width=\textwidth]{Equirectangular-projection}
\caption{Projection équirectangulaire (\href{https://commons.wikimedia.org/wiki/File:Equirectangular-projection.jpg}{Wikimedia commons}).\label{figure:equirectangulaire}}
\end{figure*}
Cette projection est intéressante, car, si elle est centrée sur l'équateur et le méridien de Greenwich (latitude et longitude nulles), la projection est mathématiquement très simple~:
\begin{align*}
x&=\lambda\\
y&=\phi
\end{align*}
\(\lambda\), \(\phi\), x et y sont respectivement la longitude, la latitude, la position sur l'abscisse et la position sur l'ordonnée.
Cette transformation ne conserve ni les angles, elle est non conforme, ni les aires, elle est non équivalente. Elle préserve certes les distances sur les méridiens, mais pas sur les grands cercles. La figure \ref{figure:indicatriceequirectangulaire} donne son indicatrice de Tissot (voir \href{https://fr.wikipedia.org/wiki/Projection\_cylindrique\_\%C3\%A9quidistante}{Wikipedia}), une représentation visuelle des déformations qu'elle produit. On voit que le rayon vertical des ellipses présentées demeure constant, alors que sa composante horizontale change.
\begin{figure}
\centering
\includegraphics[width=\linewidth]{TissotEquirectangulaire}
\caption{Indicatrice de la transformation équirectangulaire (\href{https://commons.wikimedia.org/wiki/File:Tissot\_indicatrix\_world\_map\_equirectangular\_proj.svg?uselang=fr}{Wikimedia commons}).\label{figure:indicatriceequirectangulaire}}
\end{figure}
\section{Mercator}
\subsection{Loxodromie}
Conçue à l'origine pour préserver les angles afin de permettre une navigation à cap constant sur une \emph{loxodromie}, la projection de Mercator est conforme. En effet, la courbe présentée sur la figure \ref{figure:loxodrome} est construite en parcourant le globe selon un angle \(\beta\) avec les méridiens qui est constant.
\begin{figure}
\centering
\includegraphics[width=\linewidth]{Loxodrome}
\caption{Une loxodrome (\href{https://commons.wikimedia.org/wiki/File:Loxodrome.svg}{Wikimedia commons})\label{figure:loxodrome}}
\end{figure}
Il faut relever qu'une loxodrome n'est pas une courbe minimisant la distance parcourue, comme le montre la figure \ref{figure:loxoorthodromie}, avec en jaune la loxodrome et en rouge l'orthodrome de distance minimale.
\begin{figure}
\centering
\includegraphics[width=\linewidth]{LoxoOrthoDromie}
\caption{Loxo et ortho-dromie (\href{https://commons.wikimedia.org/wiki/File:Loxodromie2.png}{Wikimedia commons})\label{figure:loxoorthodromie}}
\end{figure}
Avec une projection de Mercator (conforme), une loxodromie est transformée en ligne droite. Ainsi, avec une carte projetée selon Mercator, si on trace une droite à partir d'un point, on visualise sans difficultés où un déplacement à cap constant va nous mener. Il s'agit donc d'une carte très pratique pour la navigation.
\medskip
Mais comment la construire ? Si avec une projection équirectangulaire la transformation mathématique est évidente, avec une projection de Mercator, c'est loin d'être le cas.
Le travail de Mercator a été réalisé avant la découverte du calcul infinitésimal puisque sa carte a été publiée en 1569. Comme les relations mathématiques qui traduisent cette projection ne peuvent être déterminée qu'avec une équation différentielle, c'est par une construction réalisée par pas qu'elle a pu se faire.
\subsection{Mathématiquement}
On peut obtenir la transformation de Mercator en partant du fait qu'elle est conforme. Comme les angles sont préservée, il existe une homothétie entre un rectangle sur la sphère et sa projection sur la carte. Même si un rectangle sur la sphère n'est pas une figure plane, d'un point de vue infinitésimal on peut considérer que c'est le cas. Une véritable homothétie existe donc entre le rectangle formé de petits arcs de cercles sur la sphère et le rectangle plan de la carte.
Ainsi, si on note dx, dy les côtés du rectangle sur la carte et dl, dL les côtés en longitude, Latitude respectivement du rectangle sur le globe, la relation d'homothétie s'écrit alors~:
\begin{equation}
\frac{dy}{dx}=\frac{dL}{dl}
\end{equation}
En notant \(\phi\) la latitude et \(\lambda\) la longitude, on peut écrire \(/d\phi\) le côté \og vertical \fg{} et \(d\lambda\) le côté \og horizontal \fg{} du rectangle sur le globe. En posant R pour le rayon de la terre, on a alors que \(dl=R\cos(\phi)\cdot d\lambda\) et \(dL=R\cdot d\phi\). La relation d'homothétie devient alors~:
\begin{equation}\label{equation:homothetie}
\frac{dy}{dx}=\frac{R\cdot d\phi}{R\cos(\phi)\cdot d\lambda}
\end{equation}
En effet, si la longueur en latitude dL est directement proportionnelle à la variation de latitude, la longueur en longitude dl dépend de la latitude, puisque les méridiens se rejoignent aux pôles. Or, comme dl est exacte à l'équateur et nulle aux pôles, elle dépend du cosinus de la latitude, comme on peut le constater sur la figure \ref{figure:projmerkator}. En effet, la grandeur dl se retrouve à l'identique sur le plan équatorial et diminue au fur et à mesure qu'on s'approche du pôle ou du centre de la Terre, comme le cosinus de la latitude \(\phi\).
La relation entre la distance horizontale dx sur la carte et celle en longitude \(d\lambda\) sur la sphère est quant à elle triviale. Elle définit l'écart en distance sur la carte entre deux méridiens, par exemple. Cela s'exprime par~:
\begin{equation}\label{equation:triviale}
dx=c\cdot d\lambda\;\Rightarrow\;\frac{dx}{d\lambda}=c
\end{equation}
\begin{figure}
\centering
\caption{Grandeurs de la projection de Mercator.\label{figure:projmerkator}}
\def\svgwidth{\linewidth}
\input{images/ProjectionMerkatorSphere.eps_tex}
\end{figure}
À partir des équations \ref{equation:homothetie} et \ref{equation:triviale}, on peut écrire~:
\begin{align}
\frac{dy}{d\phi}&=\frac{R\cdot dx}{R\cos(\phi)\cdot d\lambda}\;\Rightarrow\nonumber\\
\frac{dy}{d\phi}&=\frac{c}{\cos(\phi)}=\frac{c}{\sin(\pi/2+\phi)}\nonumber\\
&=\frac{c}{2\cdot\sin(\pi/4+\phi/2)\cos(\pi/4+\phi/2)}\nonumber\\
&=c\cdot\frac{\frac{1}{2\cdot\cos^2(\pi/4+\phi/2)}}{\tan(\pi/4+\phi/2)}\nonumber\\
&=c\cdot\frac{\frac{d(tan(\pi/4+\phi/2))}{d\phi}}{tan(\pi/4+\phi/2)}
\end{align}
En effectuant le changement de variable~:
\begin{equation}
z=tan(\pi/4+\phi/2)
\end{equation}
on peut écrire~:
\begin{align}
\frac{dy}{d\phi}&=c\cdot\frac{dz/d\phi}{z}\;\Rightarrow\nonumber\\
dy&=dz/z\label{equation:aintegrer}
\end{align}
L'équation \ref{equation:aintegrer}, s'intègre facilement~:
\begin{align*}
\int_0^y dy &=c\cdot \int \frac{1}{z}dz\;\Rightarrow\\
y&=c\cdot ln(z)
\end{align*}
et en resubstituant l'expression de z, on trouve finalement~:
\begin{equation}
\boxed{
y(\phi)=c\cdot(ln(tan(\frac{\pi}{4}+\frac{\phi}{2})))
}
\end{equation}
\medskip
Pour d'autres propriétés et quelques calculs très bien faits, consultez \cite{Rousseau}.
\section{Indicatrice}
Voici avec la figure \ref{figure:indicatricemercator} l'indicatrice de la transformation de Mercator qui montre bien la déformation en latitude et celle en longitude, cette dernière étant due au redressement des méridiens qui normalement convergent aux pôles (voir paragraphe \ref{cercles}).
\begin{figure}[ht]
\centering
\includegraphics[width=\linewidth]{TissotMercator}
\caption{Indicatrice de la transformation de mercator (\href{https://commons.wikimedia.org/wiki/File:Tissot\_indicatrix\_world\_map\_Mercator\_proj.svg}{Wikimedia commons}).\label{figure:indicatricemercator}}
\end{figure}

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@ -78,9 +78,6 @@
\setcounter{lownamepenalty}{25}
\setcounter{maxparens}{3}
\setcounter{parenlevel}{0}
\setcounter{blx@maxsection}{0}
\setcounter{blx@maxsegment@0}{0}
\setcounter{blx@sectionciteorder@0}{3}
\setcounter{mincomprange}{10}
\setcounter{maxcomprange}{100000}
\setcounter{mincompwidth}{1}

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@ -7,15 +7,15 @@ Nous étions deux enseignants, l'un géographe et l'autre informaticien, tous de
Plusieurs ouvrages théoriques nous ont menés sur cette voie. Il s'agit de~:
\begin{enumerate}
\item[Cartographie radicale \cite{Zwer}], un ouvrage fondamental très bien illustré, courageux dans son propos sur l'engagement des cartes par opposition à leur prétendue neutralité scientifique et d'une clarté lumineuse à tout propos.
\item[Ceci n'est pas un atlas \cite{Orangotango}], un ouvrage atypique engageant des groupes de cartographes de tout type dans un mouvement de contre-cartographie comme outil d'information et de luttes sociales. Cet ouvrage contient un \og Petit manuel de cartographie collective et critique \fg{} permettant une initiation à la contre-cartographie particulièrement pertinent.
\item[Opérations cartographiques \cite{Besse}], un ouvrage portant sur la création de cartes au sens général du terme, puisque la problèmatique de la construction de cartes de parcours y est abordée.
\item[Ceci n'est pas un atlas \cite{Orangotango}], un ouvrage atypique engageant des groupes de cartographes de tout type dans un mouvement de contre-cartographie comme outil d'information et de luttes sociales. Cet ouvrage contient un \og Petit manuel de cartographie collective et critique \fg{} permettant une initiation à la contre-cartographie particulièrement pertinente.
\item[Opérations cartographiques \cite{Besse}], un ouvrage portant sur la création de cartes au sens général du terme, puisque la problématique de la construction de cartes de parcours y est abordée.
\end{enumerate}
Ces ouvrages ont déterminés nos choix d'une cartographie dont le formalisme aurait pu limiter les élans, d'une cartographie ou \og tout est cartographie \fg{} du moment ou l'espace est dans l'image. La liberté était donc de mise tant au niveau du sujet que des outils. Cependant, cet atelier étant orienté informatique, évidemment que les outils de productions l'ont finalement été.
Ces ouvrages ont déterminés nos choix d'une cartographie dont le formalisme aurait pu limiter les élans, d'une cartographie où \og tout est cartographie \fg{} du moment que l'espace est dans l'image. La liberté était donc de mise tant au niveau du sujet que des outils. Cependant, cet atelier étant orienté informatique, évidemment que les outils de productions se sont finalement situés dans le registre informatique.
\section{Dotation horaire}
Chaque atelier a duré la moitié d'une année scolaire, soit environ dix-neuf semaines, à raison d'une heure et demi par semaine, c'est-à-dire environ 29 heures. Sur ces heures, une heure et demi a été consacrée à une introduction générale, une autre heure et demi à une introduction à la cartographie et une dernière heure et demi à une introduction aux logiciels de cartographie. Finalement, trois heures ont été consacrées à une présentation orale de chaque travail et une heure et demi à la conclusion de l'atelier. On peut donc considérer que les travaux ont été réalisés en une vingtaine d'heures au maximum.
Chaque atelier a duré la moitié d'une année scolaire, soit environ dix-neuf semaines, à raison d'une heure et demie par semaine, c'est-à-dire environ 29 heures. Sur ces heures, une heure et demie a été consacrée à une introduction générale, une autre heure et demie à une introduction à la cartographie et une dernière heure et demie à une introduction aux logiciels de cartographie. Finalement, trois heures ont été consacrées à une présentation orale de chaque travail et une heure et demi à la conclusion de l'atelier. On peut donc considérer que les travaux ont été réalisés en une vingtaine d'heures au maximum.
\section{Cartographie}
@ -27,15 +27,15 @@ Cette introduction a été donnée par l'enseignant en informatique.
Une priorité aux logiciels libres a permis de montrer qu'aujourd'hui ces logiciels sont de meilleure qualité que leurs homologues propriétaires, qu'ils couvrent tous les domaines de la cartographie et qu'ils permettent une meilleure compatibilité en terme de formats d'exports et sont généralement bien plus multi-plateforme. Cependant, le choix du logiciel restait celui des élèves.
Plusieurs logiciels tant généraliste que dédié à la cartographie ont été présentés sans entrer dans les détails de leur présentation. Il s'agit de~:
Plusieurs logiciels tant généralistes que dédiés à la cartographie ont été présentés sans entrer dans les détails de leur présentation. Il s'agit de~:
\begin{description}
\item[Gimp] pour la manipulation des rasters (png, tiff, \dots). La différence entre logiciels de manipulation de fichiers bitmap (composé de pixels) et de fichiers vectoriels (construits mathématiquement) a été présentée à cette occasion.
\item[Inkscape] pour la manipulation d'images vectorielles vectorielle (svg).
\item[Inkscape] pour la manipulation d'images vectorielles (svg).
\item[OpenStreetMap/Umap] pour les possibilités de cartographie directement sur OpenStreetMap ou pour des cartes personnalisées avec Umap.
\item[Qgis] pour une découverte d'un logiciel fortement dédié à la cartographie.
\end{description}
La présentation de ces logiciels a été si rapide qu'on pourrait presque parler d'évocation. L'idée était de laisser les élèves découvrir par eux-même ces logiciels après un choix déterminé par leur projet et en discutant avec l'enseignant d'informatique.
La présentation de ces logiciels a été si rapide qu'on pourrait presque parler d'évocation. L'idée était de laisser les élèves découvrir par eux-mêmes ces logiciels après un choix déterminé par leur projet et en discutant avec l'enseignant d'informatique.
\section{Critique}

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@ -154,9 +154,6 @@
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@ -13,7 +13,7 @@ Les travaux présentés ici peuvent aussi parfois paraître de mauvaise qualité
L'objectif du cours étant en premier lieu de leur permettre de découvrir le monde de la cartographie en s'en emparant à travers des problématiques qui leur étaient propres, quelques commentaires ont parfois été ajoutés non pour souligner ces limites, mais pour avertir que d'autres pistes et d'autres solutions existent.
\smallskip
FEnfin, si nous avons pu mettre en valeur les propos mêmes des étudiants au sujet de leur travail, c'est qu'ils ont dû nous faire un compte rendu écrit de celui-ci à partir duquel nous avons tirés les textes présentés. Mais ceux-ci ne constituent parfois qu'une petite part du compte rendu, en particulier en ce qui concerne les références présentés. C'est au format choisi pour la présentation des travaux qu'il faut souvent s'en prendre et pas aux élèves.
Enfin, si nous avons pu mettre en valeur les propos mêmes des étudiants au sujet de leur travail, c'est qu'ils ont dû nous faire un compte rendu écrit de celui-ci à partir duquel nous avons tiré les textes présentés. Mais ceux-ci ne constituent parfois qu'une petite part du compte rendu, en particulier en ce qui concerne les références présentées. C'est au format choisi pour la présentation des travaux qu'il faut souvent s'en prendre et pas aux élèves.
%\cleartooddpage[\thispagestyle{empty}]
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@ -229,7 +229,7 @@ Essentiellement, le logiciel QGIS a été utilisé pour récupérer les frontiè
%%%% Hayden et Louise %%%%
\begin{sidewaysfigure}
% Le texte
\section{Ménhirs de Bretagne}
\section{Menhirs de Bretagne}
\subsection*{Louise et Hayden}
\begin{multicols}{3}
\og Premièrement, pour la réalisation de ce projet de cartographie libre dans le cadre de notre cours de DF Informatique, nous avons souhaité nous orienter vers la Bretagne, région de France que nous trouvons particulièrement magnifique et pour laquelle nous portons un grand intérêt. Nous hésitions entre deux options possibles : une carte de la Bretagne cartographiée de manière fantastique, dans lidée dune carte stylisée et artistique ou alors nous tourner vers un élément folklorique et marquant dans lhistoire de cette région : les menhirs. Après longue réflexion, nous avons opté pour la deuxième option en raison de lhistoire cachée derrière les menhirs que beaucoup de gens ignorent et également afin de pouvoir aider déventuels touristes à pouvoir localiser et visiter ces menhirs. Il était aussi question davoir la possibilité den découvrir plus sur lhistoire de ces monuments mystiques via notre carte.\fg

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@ -81,9 +81,6 @@
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@ -13,21 +13,21 @@ Si la création de cartes passe nécessairement par l'utilisation de contenu qu'
Il faut reconnaître cependant la difficulté de beaucoup de jeunes à anticiper les problèmes informatiques. En voyant ainsi trop grand, il perdent de vue des éléments qui sont pour eux au départ secondaires, mais qui manquent finalement.
\smallskip
Une autre tendance est au rejet de la complexité. Dès qu'un logiciel présente de la complexité, il est simplement déclaré mauvais et soit on en change au profit d'un autre qu'il faut réapprendre, soit il devient la raison de mauvais résultats. On pouvais reprocher autrefois à son crayon d'être le mauvais outil pour éviter d'avoir à se reprocher sa mauvaise utilisation. Aujourd'hui, il en est de même avec les logiciels dont l'utilisation ne va pas immédiatement de soi.
Une autre tendance est au rejet de la complexité. Dès qu'un logiciel présente de la complexité, il est simplement déclaré mauvais et soit on en change au profit d'un autre qu'il faut réapprendre, soit il devient la raison de mauvais résultats. On pouvait reprocher autrefois à son crayon d'être le mauvais outil pour éviter d'avoir à se reprocher sa mauvaise utilisation. Aujourd'hui, il en est de même avec les logiciels dont l'utilisation ne va pas immédiatement de soi.
La qualité des travaux tient donc finalement dans la pugnacité nécessaire pour parvenir au but, dans le choix des sujets et dans une bonne perception des différentes étapes nécessaires pour parvenir au but dans un temps donné.
\section{Connaissances}
Les étudiants de ce cours de cartographie et informatique avaient préalablement suivi un cours de d'informatique générale. Diverses notions comme les communications, la sécurité, les bases de données, les types de fichiers et la programmation des logiciels ont été abordées à l'occasion de ce premier cours.
Les étudiants de ce cours de cartographie et informatique avaient préalablement suivi un cours d'informatique générale. Diverses notions comme les communications, la sécurité, les bases de données, les types de fichiers et la programmation des logiciels ont été abordées à l'occasion de ce premier cours.
Ce cours a été utile essentiellement en ce qui concerne la différence entre images vectorielles et raster (bien qu'il faille préciser que le mot \emph{raster} est propre à la cartographie et que son identité avec celui de \emph{bitmap} sensé être connu n'a pas été de soit) et par une rapide introduction aux logiciels propres à ces deux catégories d'images que sont Gimp et Inkscape.
Ce cours a été utile essentiellement en ce qui concerne la différence entre images vectorielles et raster (bien qu'il faille préciser que le mot \emph{raster} est propre à la cartographie et que son identité avec celui de \emph{bitmap} sensé être connu ne va pas de soi) et par une rapide introduction aux logiciels propres à ces deux catégories d'images que sont Gimp et Inkscape.
Malgré cela, il faut bien reconnaître que la spécificité des logiciels de cartographie (Qgis, Umap, OpenStreetMap) a demandé un temps d'apprentissage de leurs principales fonctions. Cela implique une nécessaire curiosité, un esprit d'initiative pour les découvrir qui ne va pas non plus de soit. Idéalement, une introduction plus approfondie que celle réalisée serait intéressante pour les élèves ayant choisi ces logiciels spécifiques.
Malgré cela, il faut bien reconnaître que la spécificité des logiciels de cartographie (Qgis, Umap, OpenStreetMap) demande un temps d'apprentissage de leurs principales fonctions. Cela implique une nécessaire curiosité, un esprit d'initiative pour les découvrir qui ne va pas non plus de soi. Idéalement, une introduction plus approfondie que celle réalisée serait intéressante pour les élèves ayant choisi ces logiciels spécifiques.
\smallskip
Ce constat légitime un cours d'informatique plus particulièrement orienté sur un discipline et l'étude des logiciels qui lui sont associés dans leur fonctionnalités. Car, avant de se rendre compte du rôles des algorithmes pour masquer les blanc des cartes thermiques (voir \cite[\og Du globe virtuel au terrain~: une plongée dans la fabrique des données naturalistes. Plus particulièrement la figure \og Algorithme pour la génération d'une carte de chaleur \fg, pp. 190,1901\fg{} ]{Noucher}), il faut bien se rendre compte des fonctions existantes dans ce type de logiciels et donc pour une discipline spécifique.
Ce constat légitime un cours d'informatique plus particulièrement orienté sur une discipline et l'étude des logiciels qui lui sont associés dans leurs fonctionnalités. Car, avant de se rendre compte du rôle des algorithmes pour masquer les blancs des cartes thermiques (voir \cite[\og Du globe virtuel au terrain~: une plongée dans la fabrique des données naturalistes. Plus particulièrement la figure \og Algorithme pour la génération d'une carte de chaleur \fg, pp. 190,1901\fg{} ]{Noucher}), il faut bien se rendre compte des fonctions existantes dans ce type de logiciels et donc pour une discipline spécifique.
Si le sens d'un cours de cartographie pour des élèves d'option spécifique physique et application des mathématiques reste parfaitement défendable comme un exemple de l'adaptation des logiciels en fonction des besoins et en tant que support de la valeur indéniable de l'interdisciplinarité, il est évident que le lien qui pourrait exister entre la discipline étudiée au cours d'informatique et l'option spécifique serait un atout important pour une spécialisation des études. Reste à savoir si dans une école de culture générale, celle-ci est à promouvoir.
Si le sens d'un cours de cartographie pour des élèves d'option spécifique physique et application des mathématiques reste parfaitement défendable comme un exemple de l'adaptation des logiciels en fonction des besoins et en tant que support de la valeur indéniable de l'interdisciplinarité, il est évident que le lien qui pourrait exister entre la discipline étudiée au cours d'informatique et l'option spécifique serait un atout important pour une spécialisation des études. Reste à savoir si, dans une école de culture générale, celle-ci est à promouvoir.
\subsection{Cartographiques}
Les connaissances cartographiques préalables des élèves étaient relativement modestes. Si l'utilisation de cartes était familière pour eux, leur conception théorique ne fut abordée que par l'introduction faite pendant le cours de cartographie et informatique.
@ -36,7 +36,7 @@ Les connaissances cartographiques préalables des élèves étaient relativement
Essentiellement, deux logiciels de cartographie ont été utilisés~: Umap et Qgis. Ces deux programmes sont très différents.
\subsubsection*{Umap}
Le premier est basé sur OpenStreetMap et est relativement simple. Il permet de construire une surcouche géométrique à différents fond de cartes. On peut ainsi positionner des \emph{POI}, soit des points d'intérêt qui peuvent être munis d'une description écrite ou imagée, des lignes ou des surfaces (voir les figures \ref{carte:merveilleschxfds}, \ref{carte:menihrsbretagne}, \ref{carte:pollutionoceanique}, \ref{carte:comediesmusicales} et \ref{carte:voyagetedjikistan}).
Le premier est basé sur OpenStreetMap et est relativement simple. Il permet de construire une surcouche géométrique à différents fonds de cartes. On peut ainsi positionner des \emph{POI}, soit des points d'intérêt qui peuvent être munis d'une description écrite ou imagée, des lignes ou des surfaces (voir les figures \ref{carte:merveilleschxfds}, \ref{carte:menihrsbretagne}, \ref{carte:pollutionoceanique}, \ref{carte:comediesmusicales} et \ref{carte:voyagetedjikistan}).
Ce programme est apprécié en raison de sa simplicité et du fait qu'il permet de partager le résultat sans difficultés.
@ -48,35 +48,35 @@ Mais, si on peut constater à la figure \ref{carte:comediesmusicales} l'utilisa
\caption{Une légende à l'ouverture du site\label{fig:legendeumap}}.
\end{figure}
Ainsi, les possibilités de mise en forme des informations sur Umap ont-elle été finalement peu utilisées. On trouve dans un seul cas (voir figure \ref{carte:pollutionoceanique}) des éléments graphiques de type polygonaux pour décrire les \og continents \fg{} de plastique. Encore les élèves se sont-ils plaint de ne pouvoir remplacer ces polygones par des cercles qui leur semblaient plus appropriés. Mais aucune discussion ni sur la pertinence d'une représentation des surfaces de microplastiques par des cercles, ni sur la symbologie de ces éléments n'est apparue dans leur travail final. Quant à des recherches sur la manière de pouvoir la changer, rien n'a été fait. On constate ainsi non seulement une approche des logiciels fondée sur l'utilisation exclusive d'un logiciel, sans aller chercher plus loin ou sans se renseigner sur comment importer des éléments provenant d'autres logiciels, mais plus que cela cette approche exclusive est limitée par les outils fonctionnels sans avoir à comprendre quoi que ce soit. S'il est nécessaire d'aller chercher dans les différents paramètres, beaucoup abandonnent en assumant leur non-compétence, soit en la reprochant au programme.
Ainsi, les possibilités de mise en forme des informations sur Umap ont-elles été finalement peu utilisées. On trouve dans un seul cas (voir figure \ref{carte:pollutionoceanique}) des éléments graphiques de type polygonaux pour décrire les \og continents \fg{} de plastique. En outre, les élèves se sont plaints de ne pouvoir remplacer ces polygones par des cercles qui leur semblaient plus appropriés. Mais aucune discussion ni sur la pertinence d'une représentation des surfaces de microplastiques par des cercles, ni sur la symbologie de ces éléments n'est apparue dans leur travail final. Quant à des recherches sur la manière de pouvoir la changer, rien n'a été fait. On constate ainsi non seulement une approche des logiciels fondée sur l'utilisation exclusive d'un logiciel, sans aller chercher plus loin ou sans se renseigner sur comment importer des éléments provenant d'autres logiciels, mais d'avantage que cela, cette approche exclusive est limitée par les outils fonctionnels sans avoir à comprendre quoi que ce soit. S'il est nécessaire d'aller chercher dans les différents paramètres, beaucoup abandonnent en assumant leur non-compétence ou en la reprochant au programme.
\smallskip
Dans le cas d'Umap, la réponse au problèmes de gestion de la forme des surfaces tient dans une extension nommé \emph{Leaflet} dont une introduction se trouve en annexe \ref{annexe:leafet}. Mais des outils plus simples permettant de réaliser un cercle par exemple existent aussi : \url{https://www.freemaptools.com/radius-around-point.htm}. Ils nécessitent cependant de comprendre comment exporter/importer ces formes et donc de la lecture.
Dans le cas d'Umap, la réponse au problème de gestion de la forme des surfaces tient dans une extension nommée \emph{Leaflet} dont une introduction se trouve en annexe \ref{annexe:leaflet}, page \pageref{annexe:leaflet}. Mais des outils plus simples permettant de réaliser un cercle par exemple existent aussi : \url{https://www.freemaptools.com/radius-around-point.htm}. Ils nécessitent cependant de comprendre comment exporter/importer ces formes et donc de la lecture.
\subsubsection*{Qgis}
Ce logiciel est un monument dédié à la cartographie. Les possibilités qu'il offre sont si nombreuses qu'il en devient difficile d'abord. Il est cependant incontournable pour produire des cartes papier et, moyennant une petite introduction, il est possible de le faire utiliser par des étudiants.
Ce logiciel est un monument dédié à la cartographie. Les possibilités qu'il offre sont si nombreuses que son abord en devient difficile. Il est cependant incontournable pour produire des cartes papier et, moyennant une petite introduction, il est possible de le faire utiliser par des étudiants.
Les travaux des paragraphes \ref{para:orientationspolitiques} et \ref{para:niveauxdevie} ont ainsi été réalisés avec Qgis. Comme dans le cas du travail sur l'urbanisation neuchâteloise (paragraphe \ref{para:urbanisationneuchateloise}), le premier problème a été de trouver le fond de carte adéquat. Or, les immenses possibilités de Qgis en terme de types de couches ont nécessité une aide pour trouver un fond de carte des frontières des pays exploitable par Qgis. La différence entre couche raster et vectorielle étant nouvelle pour les étudiants, les recherches n'ont pas été faciles.
Les travaux des paragraphes \ref{para:orientationspolitiques} et \ref{para:niveauxdevie} ont ainsi été réalisés avec Qgis. Comme dans le cas du travail sur l'urbanisation neuchâteloise (paragraphe \ref{para:urbanisationneuchateloise}), le premier problème a été de trouver le fond de carte adéquat. Or, les immenses possibilités de Qgis en terme de types de couches ont nécessité une aide pour trouver un fond de carte exploitable par Qgis des frontières des pays. La différence entre couche raster et vectorielle étant nouvelle pour les étudiants, les recherches n'ont pas été faciles.
\smallskip
Une fois le fond de carte trouvé, c'est le logiciel qui fut source de problèmes. Avec un grand nombre de pays, trouver où attribuer la bonne couleur à chacun et changer manuellement celles-ci a mené à des interrogations intéressante sur les moyens de le faire automatiquement et donc sur la présence d'une base de donnée qui pourrait indiquer la couleur à partir d'un chiffre, par exemple.
Une fois le fond de carte trouvé, c'est le logiciel qui fut source de problèmes. Avec un grand nombre de pays, trouver où attribuer la bonne couleur à chacun et changer manuellement celles-ci a mené à des interrogations intéressantes sur les moyens de le faire automatiquement et donc sur la présence d'une base de données qui pourrait indiquer la couleur à partir d'un chiffre, par exemple.
Parallèlement, avec autant de pays, le problème de la longueur de la légende s'est posé et consécutivement celui de l'enclassement par niveaux de couleurs. Les élèves ont ainsi pu se rendre compte de l'importance d'une légende bien construite et de la difficulté à la réaliser.
Dans le cas du travail sur les niveaux de vie (paragraphe \ref{para:niveauxdevie}), les difficultés à découpler la légende de la liste des couleurs des pays ont été telles (pourtant quelques clicks) que les élèves ont proposé de la faire « manuellement » en prenant une capture d'écran de la carte et en y superposant l'image d'une légende réalisée avec un logiciel de dessin. Si ce n'est pas ce qui a été réalisé finalement, le document remis était une capture d'écran, montrant une très mauvaise compréhension des finalités de Qgis.
\subsubsection*{Graphismes et bases de données}
Autant Umap que Qgis sont des logiciels essentiellement orienté interface graphique et non ligne de commande. Soit dit en passant, ce n'est pas le cas de Leaflet, sans pour autant que le constat suivant ne trouve de solution avec celui-ci en raison de l'utilisation du langage JavaScript, orienté serveur, qui déporte le problème sur l'échange de fichiers.
Autant Umap que Qgis sont des logiciels essentiellement orientés interface graphique et non ligne de commande. Soit dit en passant, ce n'est pas le cas de Leaflet, sans pour autant que le constat suivant ne trouve de solution avec celui-ci en raison de l'utilisation du langage JavaScript, orienté serveur, qui déporte le problème sur l'échange de fichiers.
À part pour les travaux réalisés avec Qgis, qui ont mené les élèves à interroger et à modifier la base de données associées aux fonds de cartes utilisés, il faut constater que la plupart des travaux réalisés se sont surtout focalisés sur le graphisme des cartes au détriment de l'analyse de données.
De ce point de vue, c'est le travail de Maëlle et Charlotte (paragraphe \ref{para:urbanisationneuchateloise}) qui sort du lot. En effet, l'analyse spatiale y et couplée avec une analyse des données approfondie et même une critique de celle-ci très intéressante.
De ce point de vue, c'est le travail de Maëlle et Charlotte (paragraphe \ref{para:urbanisationneuchateloise}) qui sort du lot. En effet, l'analyse spatiale y est couplée avec une analyse des données approfondie et même une critique de celle-ci très intéressante.
C'est aussi le travail de Mathilde et Hélène sur les pollutions océaniques (paragraphe \ref{para:pollutionsoceaniques}) qui se base sur une analyse d'événement bien référencés sans pour autant être en relation directe avec une représentation de l'ampleur des phénomènes, par exemple en dimensionnant les « continents » de plastiques sur la base d'éléments factuels.
C'est aussi le travail de Mathilde et Hélène sur les pollutions océaniques (paragraphe \ref{para:pollutionsoceaniques}, page \pageref{para:pollutionsoceaniques}) qui se base sur une analyse d'événements bien référencés sans pour autant être en relation directe avec une représentation de l'ampleur des phénomènes, par exemple en dimensionnant les « continents » de plastiques sur la base d'éléments factuels.
Dans une moindre mesure, et ce n'est probablement pas un hasard, les travaux utilisant Qgis ont aussi abordé les données permettant la représentation, par les couleurs politiques et les niveaux de vie.
Pour les autres travaux, si l'analyse de données est moins évidente, elle transparaît cependant en arrière plan comme dans les cartes Umap où les POI choisis traduisent évidemment recherche de données et une analyse des éléments choisis. On peut penser au menhirs, au parcours touristiques, comédies musicales ou merveilles chaux-de-fonnières.
Pour les autres travaux, si l'analyse de données est moins évidente, elle transparaît cependant en arrière plan comme dans les cartes Umap où les POI choisis traduisent évidemment la recherche de données et une analyse des éléments choisis. On peut penser aux menhirs, aux parcours touristiques, comédies musicales ou merveilles chaux-de-fonnières.
\smallskip
Enfin, certains travaux, comme Ganymède, Panomatricks et le Parc d'attractions, se sont simplement abstenu de données pour privilégier la représentation graphique. On est là plus dans une cartographie artistique, même si un élément cartographique typique comme la légende est présent.
Enfin, certains travaux, comme Ganymède, Panomatricks et le Parc d'attractions, se sont simplement abstenus de données pour privilégier la représentation graphique. On est là plus dans une cartographie artistique, même si un élément cartographique typique comme la légende est présent.

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@ -76,9 +76,6 @@
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@ -4,13 +4,13 @@
\chapter{Conclusion}
\section{Évolution}
Le cours de cartographie et informatique va se poursuivre. Si les deux premières classes y ayant participé on rendu des travaux de qualité diverses, tous furent intéressants à divers point de vue.
Le cours de cartographie et informatique va se poursuivre. Si les deux premières classes y ayant participé ont rendu des travaux de qualité diverses, tous furent intéressants à divers point de vue.
Les consignes initiales étaient de réaliser informatiquement une carte, de la présenter par écrit et oralement. C'est tout. Il faut remarquer que malgré des consignes aussi minimales, les sujet abordés ont toujours été pertinent pour réaliser une carte.
Les consignes initiales étaient de réaliser informatiquement une carte, de la présenter par écrit et oralement. C'est tout. Il faut remarquer que malgré des consignes aussi minimales, les sujets abordés ont toujours été pertinents pour réaliser une carte.
Le présent compte rendu des travaux réalisés à cependant mis en évidence des points problématiques qui nécessitent une précision des consignes~:
Le présent compte rendu des travaux réalisés a cependant mis en évidence des points problématiques qui nécessitent une précision des consignes~:
\begin{itemize}
\item Plusieurs cartes ont été livrées en basse résolution de part l'utilisation d'un logiciel de présentation par exemple, inadapté pour un rendu papier ou de part une méconnaissance des différences de résolution entre écran et papier qui est très présente chez des élèves qui font souvent des copies d'écran avec leur smartphones et n'impriment plus rien.
\item Plusieurs cartes ont été livrées en basse résolution de par l'utilisation d'un logiciel de présentation par exemple, inadapté pour un rendu papier ou en raison d'une méconnaissance des différences de résolution entre écran et papier qui est très présente chez des élèves qui font souvent des copies d'écran avec leur smartphone et n'impriment plus rien.
Pour les inviter à mieux prendre conscience de ces problèmes, il sera nécessaire d'imposer un document final sous la forme d'une image pouvant être imprimée en A3 par exemple.
\item Plusieurs cartes comprennent des éléments dynamiques, comme des photos, des vidéos ou des POI sur lesquels il faut cliquer pour voir l'information. Or généralement, dans la présentation écrite, seul un lien permet d'accéder à cette information dynamique, ce qui rend l'analyse et la conservation des cartes difficile.
@ -18,7 +18,7 @@ Pour les inviter à mieux prendre conscience de ces problèmes, il sera nécessa
Il sera donc nécessaire de préciser que l'ensemble des éléments caractéristiques de la carte doit figurer dans le compte rendu écrit. Pour une vidéo, des images de celles-ci peuvent être fournies ; pour une carte cliquable, les éléments développés devront être présents à l'écrit.
\item Le compte rendu du travail informatique réalisé pour obtenir les cartes est généralement très lacunaire, voire quasi inexistant. La raison en est simple : la description des outils utilisés ne fait pas sens. Un peintre ne parlera pas de ses pinceaux, un scientifique décrira peu ses outils d'analyse, un géographe ne détaillera pas comment ont été faites les cartes dont il se sert.
Or, aujourd'hui, l'éventail des outils disponibles permet de s'interroger sur la pertinence de leur utilisation, sur leur pérennité pour la conservation des cartes réalisées et sur l'éthique intellectuelle qui les sous-tends. Si aujourd'hui on doit s'interroger sur la nécessité de nos déplacements, sur l'adéquation des véhicules avec ceux-ci et sur leurs impacts sur l'environnement, on doit aussi en cartographie répondre des choix des outils informatique de production des cartes (voir l'introduction à l'ouvrage \cite{Laboulais}, \emph{Les \og coulisses \fg{} des cartes à l'époque moderne} ou \emph{Opérations cartographiques} \cite{Besse}).
Or, aujourd'hui, l'éventail des outils disponibles permet de s'interroger sur la pertinence de leur utilisation, sur leur pérennité pour la conservation des cartes réalisées et sur l'éthique intellectuelle qui les sous-tend. Si aujourd'hui on doit s'interroger sur la nécessité de nos déplacements, sur l'adéquation des véhicules avec ceux-ci et sur leurs impacts sur l'environnement, on doit aussi en cartographie répondre des choix des outils informatiques de production des cartes (voir l'introduction à l'ouvrage \cite{Laboulais}, \emph{Les \og coulisses \fg{} des cartes à l'époque moderne} ou \emph{Opérations cartographiques} \cite{Besse}).
Un important compte-rendu des étapes et des moyens de construction doit donc être disponible et il faudra insister sur l'importance de ce travail auprès d'élèves peu habitués à lui donner de la valeur.
\end{itemize}
@ -26,4 +26,4 @@ Un important compte-rendu des étapes et des moyens de construction doit donc ê
\section{Conclusion}
La valeur des production de cet atelier de cartographie informatique est manifeste. Il faut remercier les étudiants pour leur intérêt et leur créativité.
Mais il faut aussi constater les difficultés qu'ils ont faire reposer leurs cartes sur des éléments factuels autant qu'à justifier leur travail informatique.
Mais il faut aussi constater les difficultés qu'ils ont à faire reposer leurs cartes sur des éléments factuels autant qu'à justifier leur travail informatique.

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@ -23,6 +23,9 @@
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View File

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% This is an auxiliary file used by the 'biblatex' package.
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\field{title}{Xia 3.0}
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View File

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127
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@Book{Zwer,
author = {Nepthys Zwer et Philippe Rekacewicz},
title = {Cartographie radicale Explorations},
publisher = {La Découverte},
year = {2021},
note = {Une référence en la matière.}}
@Book{Orangotango,
author = {Kolletiv Orangotango},
editor = {Nepthys Zwer},
title = {Ceci n'est pas un atlas},
year = {2023},
publisher = {édition du commun},
note = {La cartographie comme outil de luttes 21 exemples à travers le monde},
}
@Book{Noucher,
author = {Matthieu Noucher},
title = {Blancs des cartes et boites noires algorithmiques},
year = {2023},
publisher = {CNRS Editions},
note = {Ouvrage relativement simple sur la relation entre cartographie et informatique},
}
@Book{Collado,
author = {David Collado},
title = {Géomatique webmapping en open source},
year = {2019},
publisher = {ellipse},
note = {Ouvrage très technique, mais extrèmement cohérent et entièrement orienté logiciels libres},
}
@Book{Picouet,
author = {Collectif},
editor = {Patrick Picouet},
title = {La carte invente le monde},
year = {2019},
publisher = {Presses universitaires du Septentrion},
note = {Fantastique ouvrage dont la diversité de propos redonne foi en la cartographie.},
}
@Book{Laboulais,
author = {Collectif},
editor = {Isabelle Laboulais},
title = {Les usages des cartes (XVIIe-XIXe siècle)},
year = {2008},
publisher = {Presses universitaires de Strasbourg},
note = {Comment crée-t-on des cartes ?},
}
@Book{Besse,
author = {Sous la direction de Jean-Marc Besse \& Gilles A. Tiberghien},
title = {Opérations cartographiques},
year = {2017},
publisher = {Actes Sud ENSP},
note = {Peut-on envisager les opérations cartographiques nécessaires à la production de cartes ?},
}
@Online{Eskimon,
title = {Des cartes sur votre site},
url = {https://zestedesavoir.com/tutoriels/1365/des-cartes-sur-votre-site/},
urldate = {2023-07-22},
}
@Online{Shevek,
title ={Leaflet - Utilisation avancée},
url = {https://zestedesavoir.com/tutoriels/4053/leaflet-utilisation-avancee/},
urldate = {2023-07-22},
}
@Online{Rousseau,
title ={La cartographie},
url = {https://dms.umontreal.ca/~rousseac/Cartographie.pdf},
urldate = {2023-08-07},
}
@Online{Stamen,
title ={Stamen Design},
url = {https://stamen.com/},
urldate = {2023-08-07},
}
@Online{Path,
title ={SVG, la syntaxe Path},
url = {https://la-cascade.io/articles/svg-la-syntaxe-path},
urldate = {2023-08-09},
}
@Online{NASA,
title ={Garbage Patch Visualization Experiment},
url = {https://svs.gsfc.nasa.gov/4174},
urldate = {2023-08-10},
}
@Online{Leaflet,
title ={Leafletjs},
url = {https://leafletjs.com/},
urldate = {2023-08-10},
}
@Online{LGreatCircle,
title ={Leaflet.greatCircle.js},
url = {https://github.com/nuclearsecrecy/Leaflet.greatCircle},
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}
@Online{crssimple,
title ={Not of this earth},
url = {https://leafletjs.com/examples/crs-simple/crs-simple.html},
urldate = {2023-09-17},
}
@Online{xiafunraiders,
title ={Xia 3.0},
url = {https://xia.funraiders.org/},
urldate = {2023-09-17},
}
@Online{xiafunraidersman,
title ={Manuel d'utilisation de XIA},
url = {https://xia.funraiders.org/docreader.php?doc=0},
urldate = {2023-09-18},
}
@Comment{jabref-meta: databaseType:biblatex;}

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[0] Config.pm:307> INFO - This is Biber 2.17
[0] Config.pm:310> INFO - Logfile is 'main.blg'
[46] biber:340> INFO - === mer. sept. 20, 2023, 09:38:04
[55] Biber.pm:418> INFO - Reading 'main.bcf'
[99] Biber.pm:969> INFO - Using all citekeys in bib section 0
[107] Biber.pm:4383> INFO - Processing section 0
[114] Biber.pm:4574> INFO - Looking for bibtex file 'main.bib' for section 0
[115] bibtex.pm:1713> INFO - LaTeX decoding ...
[122] bibtex.pm:1518> INFO - Found BibTeX data source 'main.bib'
[175] UCollate.pm:68> INFO - Overriding locale 'fr-FR' defaults 'variable = shifted' with 'variable = non-ignorable'
[175] UCollate.pm:68> INFO - Overriding locale 'fr-FR' defaults 'normalization = NFD' with 'normalization = prenormalized'
[175] Biber.pm:4203> INFO - Sorting list 'nty/global//global/global' of type 'entry' with template 'nty' and locale 'fr-FR'
[175] Biber.pm:4209> INFO - No sort tailoring available for locale 'fr-FR'
[185] bbl.pm:654> INFO - Writing 'main.bbl' with encoding 'UTF-8'
[188] bbl.pm:757> INFO - Output to main.bbl
[1] Config.pm:311> INFO - This is Biber 2.16
[1] Config.pm:314> INFO - Logfile is 'main.blg'
[280] biber:340> INFO - === mer sep 20, 2023, 23:04:00
[323] Biber.pm:415> INFO - Reading 'main.bcf'
[546] Biber.pm:949> INFO - Using all citekeys in bib section 0
[591] Biber.pm:4340> INFO - Processing section 0
[622] Biber.pm:4531> INFO - Looking for bibtex format file 'main.bib' for section 0
[625] bibtex.pm:1689> INFO - LaTeX decoding ...
[663] bibtex.pm:1494> INFO - Found BibTeX data source 'main.bib'
[937] UCollate.pm:68> INFO - Overriding locale 'fr-FR' defaults 'normalization = NFD' with 'normalization = prenormalized'
[937] UCollate.pm:68> INFO - Overriding locale 'fr-FR' defaults 'variable = shifted' with 'variable = non-ignorable'
[937] Biber.pm:4168> INFO - Sorting list 'nty/global//global/global' of type 'entry' with template 'nty' and locale 'fr-FR'
[937] Biber.pm:4174> INFO - No sort tailoring available for locale 'fr-FR'
[988] bbl.pm:654> INFO - Writing 'main.bbl' with encoding 'UTF-8'
[1000] bbl.pm:757> INFO - Output to main.bbl

BIN
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Binary file not shown.

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\addvspace {10\p@ }
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1728
main.log

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128
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\BOOKMARK [1][-]{section.1.3}{Logiciels de cartographie}{chapter.1}% 7
\BOOKMARK [1][-]{section.1.4}{Critique}{chapter.1}% 8
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\BOOKMARK [1][-]{section.2.2}{Cartonomique}{chapter.2}% 11
\BOOKMARK [1][-]{section.2.3}{Ganym\350de}{chapter.2}% 12
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\BOOKMARK [1][-]{section.2.6}{Panomatricks \340 l'H\364pital}{chapter.2}% 15
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\BOOKMARK [1][-]{section.2.10}{Parc d'attractions des r\352ves}{chapter.2}% 19
\BOOKMARK [1][-]{section.2.11}{Pollutions oc\351aniques}{chapter.2}% 20
\BOOKMARK [1][-]{section.2.12}{LBC cursus}{chapter.2}% 21
\BOOKMARK [1][-]{section.2.13}{Com\351dies musicales}{chapter.2}% 22
\BOOKMARK [1][-]{section.2.14}{Cartographie sur un orchestre symphonique}{chapter.2}% 23
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\BOOKMARK [2][-]{subsection.3.2.1}{Cartographiques}{section.3.2}% 30
\BOOKMARK [2][-]{subsection.3.2.2}{Informatiques}{section.3.2}% 31
\BOOKMARK [0][-]{chapter.4}{Conclusion}{}% 32
\BOOKMARK [1][-]{section.4.1}{\311volution}{chapter.4}% 33
\BOOKMARK [1][-]{section.4.2}{Conclusion}{chapter.4}% 34
\BOOKMARK [0][-]{appendix.A}{Leaflet}{}% 35
\BOOKMARK [1][-]{section.A.1}{Structure}{appendix.A}% 36
\BOOKMARK [1][-]{section.A.2}{Marqueurs}{appendix.A}% 37
\BOOKMARK [2][-]{subsection.A.2.1}{Lignes}{section.A.2}% 38
\BOOKMARK [2][-]{subsection.A.2.2}{Rectangles}{section.A.2}% 39
\BOOKMARK [2][-]{subsection.A.2.3}{Cercles}{section.A.2}% 40
\BOOKMARK [2][-]{subsection.A.2.4}{Rectangles SVG}{section.A.2}% 41
\BOOKMARK [1][-]{section.A.3}{Pollutions}{appendix.A}% 42
\BOOKMARK [2][-]{subsection.A.3.1}{\311chelle}{section.A.3}% 43
\BOOKMARK [2][-]{subsection.A.3.2}{Fond de carte}{section.A.3}% 44
\BOOKMARK [2][-]{subsection.A.3.3}{Forme}{section.A.3}% 45
\BOOKMARK [2][-]{subsection.A.3.4}{Mouvement}{section.A.3}% 46
\BOOKMARK [2][-]{subsection.A.3.5}{Informations}{section.A.3}% 47
\BOOKMARK [2][-]{subsection.A.3.6}{Grands cercles}{section.A.3}% 48
\BOOKMARK [1][-]{section.A.4}{Conclusion}{appendix.A}% 49
\BOOKMARK [0][-]{appendix.B}{Xia et Map Wraper}{}% 50
\BOOKMARK [1][-]{section.B.1}{Xia}{appendix.B}% 51
\BOOKMARK [2][-]{subsection.B.1.1}{Installation}{section.B.1}% 52
\BOOKMARK [2][-]{subsection.B.1.2}{Utilisation}{section.B.1}% 53
\BOOKMARK [2][-]{subsection.B.1.3}{Techniquement}{section.B.1}% 54
\BOOKMARK [1][-]{section.B.2}{Map Wraper}{appendix.B}% 55
\BOOKMARK [0][-]{appendix.C}{La projection de Mercator}{}% 56
\BOOKMARK [1][-]{section.C.1}{\311quirectangulaire}{appendix.C}% 57
\BOOKMARK [1][-]{section.C.2}{Mercator}{appendix.C}% 58
\BOOKMARK [2][-]{subsection.C.2.1}{Loxodromie}{section.C.2}% 59
\BOOKMARK [2][-]{subsection.C.2.2}{Math\351matiquement}{section.C.2}% 60
\BOOKMARK [1][-]{section.C.3}{Indicatrice}{appendix.C}% 61
\BOOKMARK [0][-]{appendix*.92}{Bibliographie}{}% 62
\BOOKMARK [1][-]{section*.93}{Livres}{appendix*.92}% 63
\BOOKMARK [1][-]{section*.94}{Ressources en ligne}{appendix*.92}% 64

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main.pdf

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30830
main.ps

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185
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%%%%%%%%%%%%%%% Modèle de Travail de Maturité %%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%
% On peut obtenir le document final de deux manières :
% Classiquement, avec des images eps uniquement pour profiter
% des avantages du postscript :
% -----------
% première compilation avec LaTeX
% seconde compilation avec LaTeX
% création de l'index : makeindex
% création de la biblographie : bibtex
% troisième compilation avec LaTeX
% éventuellement quatrième compilation avec LaTeX
% transformer le dvi e ps puis en PDF
% -----------
% Autre manière plus rapide, permettant d'obtenir un pdf avec des liens actifs
% et gérant les images jpg, png, ... mais, de moins bonne qualité pour les
% figures
% -----------
% deux compilations pdflatex
% création de l'index : makeindex
% création de la biblographie : bibtex
% troisième compilation avec pdflatex
% éventuellement quatrième compilation avec LaTeX
% -----------
% Pour plus d'informations sur la phase de compilation et les différentes
% configurations possible sous TexMaker, voyez la documentation dans le
% répertoire du même nom.
%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%
% ATTENTION l'option draft est activée par défaut. Pour le document final, commentez la ligne
% suivante et décommentez celle du dessous pour retirer l'option draft.
% Plusieurs éléments de présentation aidant à la rédaction seront alors retirés (filigrane, notes de todo, repère de lignes trop longues, ...)
%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%
%\documentclass[12pt,a4paper,titlepage,twoside,openright,draft]{book}
\documentclass[12pt,a4paper,titlepage,twoside,openright,twocolumn]{book}
% Pour mémoire, ne pas en tenir compte
%\documentclass[12pt,a4paper,idxtotoc,bibtotoc,titlepage,twoside,openright,draft]{book}
%------ DÉBUT DU PRÉAMBULE --------
% Toutes les commandes techniques sont définies dans le fichier TM.sty
% Normalement, vous n'avez pas à y toucher
% Mais, il doit être présent
\usepackage{TM}
% Initialisation des paramètres du travail de maturité
% Il faut impérativement remplir ce fichier, c'est-à-dire le fichier config.tex
\include{config}
% Lancement de la procédure de choix de la sortie papier ou pdf avec hyperliens
\choixsortie
\choixstylebiblio
% Les ressources web sont définies dans une bibliographie à part.
% Il faut donc une nouvelle commande de citation des sites web.
%\titredelabiblioweb
% ***** FIN DU PRÉAMBULE *****
% ***** DÉBUT DU DOCUMENT *****
% ----- DÉBUT DE LA PRÉFACE -----
\begin{document}
\frontmatter
% Choix de la langue
\choixdelalangue
% Permet l'inclusion d'un indication de version provisoire
\draftoufinal
% Inclusion de la page de titre.
\pagetitre
% Une citation ou pensée,
\pensee
% Préambule/dédicace/remerciements
\dedicace
% Pour insérer un résumé
\resume
\begin{spacing}{1.2} % Environment pour des espaces interlignes de 1.2 pour le contenu et les listes
% Table des matières
% Définition du nom de la table des matières
\tableofcontents % table des matières (fichier .toc)
% Pour changer le titre
%\renewcommand{\contentsname}{Table des matières}
% Liste des figures
\listefig
% Liste des tables
\listetbl
% Correction d'un petit bug de listing
\corrbug
% Liste des codes
\listelst
\end{spacing} % Environment pour des espaces interlignes de 1.2 pour le contenu et les listes
% ----- FIN DE LA PRÉFACE -----
% ----- DÉBUT DU CORPS DU DOCUMENT -----
\mainmatter
\addtolength{\parskip}{0.25\baselineskip} % espace inter-paragraphe
\leschapitres
\include{chapitres/conclusion}
% ----- DÉBUT DES ANNEXES -----
\appendix
% Si nécessaire, les annexes sont placées ici.
\annexes
% ----- FIN DES ANNEXES -----
%\pagenumbering{arabic}
% ----- FIN DU CORPS DU DOCUMENT -----
\backmatter
\pagestyle{laposteface}
% Éventuelles notes de fin de document
\printendnotes
% Liste des acronymes.
\acronyme
% Ici est incluse la licence du travail. C'est la GFDL.
\licence
% Site officiel pour votre travail.
\site
% CDROM de votre travail.
\cdrom
\ressources
%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%
% Pour avoir toutes les références de vos fichiers bibtex dans la bibliographie, vous pouvez décommenter les lignes suivantes.
% Autrement, seules les références cités apparaîtrons dans la bibliographie.
%\nocite{*}
\printbibheading[heading=bibintoc]
\sloppy % pour une meilleures césure des url dans les références biblio. Retirez si nécessaire.
% Les livres ou autres, à l'exception des sites internet
\printbibliography[nottype=online,heading=subbibliography,heading=subbibintoc,category=cited,
title={\lesressources}]
% Les ressources de type sites internet
\printbibliography[type=online,heading=subbibliography,heading=subbibintoc,category=cited,
title={\lesressourcesenligne}]
% Toutes les ressources, même non citées
\nocite{*}
\printbibliography[heading=subbibliography,heading=subbibintoc,notcategory=cited,
title={Références non citées}]\label{refnoncite}
%\cleartooddpage
%% Si nécessaire, l'index est placé ici.
\lindex
%
%\cleartooddpage
%
%\pagestyle{videavecpage}
%\newpage
%\strut% ou ~ ou \mbox{} ou \null
%\newpage
%
%\pagestyle{videsanspage}
%\newpage
%\strut% ou ~ ou \mbox{} ou \null
%\newpage
\end{document}
% ***** FIN DU DOCUMENT *****

View File

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