diff --git a/CoursMecaniqueOSDF.pdf b/CoursMecaniqueOSDF.pdf
index 081ab94..9acfa4d 100644
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new file mode 100644
index 0000000..2baa9fc
--- /dev/null
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@@ -0,0 +1,366 @@
+
+
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index 0000000..41b1272
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@@ -0,0 +1,362 @@
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+
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index 88c9dd1..823f922 100644
--- a/ThermodynamiqueOS/ThermodynamiqueOS.tex
+++ b/ThermodynamiqueOS/ThermodynamiqueOS.tex
@@ -957,14 +957,14 @@ Par contre, on peut relever que le c\oe fficient \(\gamma\) de l'équation \ref{
\begin{figure*}[th!]
\centering
-\psfrag{Etape1~: isochore}{Étape A~: isochore}
-\psfrag{Etape2~: isobare}{Étape B~: isobare}
-\psfrag{Etape3~: isochore}{Étape C~: isochore}
-\psfrag{Etape4~: isobare}{Étape D~: isobare}
-\psfrag{Chauffage}{Chauffage}
-\psfrag{Chargement}{Chargement}
-\psfrag{Déchargement}{Déchargement}
-\psfrag{Refroidissement}{Refroidissement}
+%\psfrag{Etape1~: isochore}{Étape A~: isochore}
+%\psfrag{Etape2~: isobare}{Étape B~: isobare}
+%\psfrag{Etape3~: isochore}{Étape C~: isochore}
+%\psfrag{Etape4~: isobare}{Étape D~: isobare}
+%\psfrag{Chauffage}{Chauffage}
+%\psfrag{Chargement}{Chargement}
+%\psfrag{Déchargement}{Déchargement}
+%\psfrag{Refroidissement}{Refroidissement}
\subfigure[Chargement\label{moteur1}]{\includegraphics[width=6cm]{Moteur1.eps}}\qquad
\subfigure[Chauffage\label{moteur2}]{\includegraphics[width=6cm]{Moteur2.eps}}\\
\subfigure[Déchargement\label{moteur3}]{\includegraphics[width=6cm]{Moteur3.eps}}\qquad
diff --git a/ThermodynamiqueOS/ThermodynamiqueOS.tex.bak b/ThermodynamiqueOS/ThermodynamiqueOS.tex.bak
index b459dcd..823f922 100644
--- a/ThermodynamiqueOS/ThermodynamiqueOS.tex.bak
+++ b/ThermodynamiqueOS/ThermodynamiqueOS.tex.bak
@@ -153,7 +153,7 @@ Mercure & \num{7e-4}\\
Considérons l'exemple suivant~:
\smallskip
-Une piscine de \SI{10 x 5 x 2}{\metre} est remplie d'eau. Si on suppose que la matière du récipient qui la constitue ne se dilate pas, calculez le volume d'eau qui déborde de celle-ci quand elle est entièrement remplie à \SI{17}{\celsius} et que sa température s'élève à \SI{25}{\celsius}.
+Une piscine de 10 x 5 x 2 \si{\metre} est remplie d'eau. Si on suppose que la matière du récipient qui la constitue ne se dilate pas, calculez le volume d'eau qui déborde de celle-ci quand elle est entièrement remplie à \SI{17}{\celsius} et que sa température s'élève à \SI{25}{\celsius}.
\smallskip
Réponse~:
@@ -164,8 +164,8 @@ On commence par calculer le volume initial~:
Puis, on détermine la variation de volume~:
\begin{align*}
-\Delta V&=100\cdot 2\cdot 10^{-4}\cdot (25-17)\\
-&=\SI{0,16}{\metre\cubed}=\SI{160}{\deci\metre\cubed}=\SI{160}{\liter}
+\Delta V&=100\cdot 3\cdot 2\cdot 10^{-4}\cdot (25-17)\\
+&=\SI{0,48}{\metre\cubed}=\SI{480}{\deci\metre\cubed}=\SI{480}{\liter}
\end{align*}
\section{Chaleurs spécifique et latente}
@@ -282,7 +282,8 @@ Lorsque plusieurs matières, ou états de la matière, à températures différe
Considérons maintenant les deux exemples suivants~:
\medskip
-Un thermos d'un litre est remplis au deux tiers d'eau chaude à \SI{80}{\celsius}. La température moyenne du thermos est alors de \SI{60}{\celsius}. Si la capacité thermique du thermos vaut \SI{0,4}{\celsius}, quelle doit être en grammes la masse d'eau froide à \SI{0}{\celsius} qu'il faut mettre dans le thermos pour que la température d'équilibre s'établisse à \SI{40}{\celsius} ? Est-ce possible ?
+Un thermos d'un litre est remplis au deux tiers d'eau chaude à \SI{80}{\celsius}. Quelle doit être en gramme la masse d'eau froide à \SI{0}{\celsius} qu'il faut mettre dans le thermos pour que la température d'équilibre soit de \SI{40}{\celsius} ? Initialement la température du thermos est de \SI{60}{\celsius} et sa capacité thermique \SI{0,4}{\joule\per\celsius}. Est-ce possible ?
+
\smallskip
Réponse~:
@@ -294,7 +295,7 @@ Q_m&=m\cdot c_{eau}\cdot (\theta_{\acute{e}q}-\theta_{froide})\\
&=m\cdot 4,18\cdot 10^3\cdot (40-0)\\
&=167'200\cdot m
\end{align*}
-La chaleur cédée par l'eau chaude à \SI{90}{\celsius} vaut~:
+La chaleur cédée par l'eau chaude à \SI{80}{\celsius} vaut~:
\begin{align*}
Q_{chaude}&=V_{chaude}\cdot \rho_{eau}\cdot c_{eau}\cdot (\theta_{\acute{e}q}-\theta_{chaude})\\
&=\frac{2}{3}\cdot 10^{-3}\cdot 10^3\cdot 4,18\cdot 10^3\cdot (40-80)\\
@@ -316,7 +317,8 @@ Q_m+Q_{chaude}+Q_{thermos}&=0\\
m&=\SI{0,666}{\kilo\gram}
\end{align*}
Soit en terme de volume~: \SI{0,666}{\liter}. Il n'est donc pas possible de mettre cette quantité d'eau dans le thermos puisqu'il ne reste qu'un tiers de litre.
-\medskip
+
+\bigskip
L'exemple suivant est plus complexe, car il fait intervenir un changement d'état. Un récipient de capacité thermique négligeable contient un demi-litre d'eau à \SI{10}{\celsius}. On y verse \SI{200}{\gram} de glace à \SI{-20}{\celsius}. Quel est l'état d'équilibre final et quelle est sa température ?
\medskip
@@ -563,7 +565,7 @@ Alors que pour une molécule triatomique rigide, on a trois degrés de liberté
E=\frac{6}{2}\cdot n\cdot R\cdot T
\end{equation}
-L'épreuve du théorème de l'équipartition de l'énergie va venir de sa confrontation avec les chaleurs spécifiques. En effet, comme on le verra par la suite au paragraphe \ref{par:chalspe, on peut montrer que :
+L'épreuve du théorème de l'équipartition de l'énergie va venir de sa confrontation avec les chaleurs spécifiques. En effet, comme on le verra par la suite au paragraphe \ref{par:chalspec}, page \pageref{par:chalspec}, on peut montrer que :
\begin{align}
C_V&=\frac{i}{2}\cdot R\\
C_p&=(\frac{i}{2}+1)\cdot R=\frac{i+2}{2}\cdot R
@@ -594,7 +596,7 @@ Polyatomique & \color{violet}{i=7} & & & & & & & & \\
\end{center}
\end{shaded}
%\end{figure*}
-\caption{Modèle de l'équipartition de l'énergie\\\color{red}{\(C_V=3R/2\)}, \color{blue}{\(C_V=5R/2\)}, \color{green}{\(C_V=6R/2\)}, \color{violet}{\(C_V=7R/2\)}\\\color{red}{\(C_p=5R/2\)}, \color{blue}{\(C_p=7R/2\)}, \color{green}{\(C_p=8R/2\)}, \color{violet}{\(C_p=9R/2\)}\label{tab:equipartition}}
+\caption[Modèle de l'équipartition de l'énergie]{Modèle de l'équipartition de l'énergie\\\color{red}{\(C_V=3R/2\)}, \color{blue}{\(C_V=5R/2\)}, \color{green}{\(C_V=6R/2\)}, \color{violet}{\(C_V=7R/2\)}\\\color{red}{\(C_p=5R/2\)}, \color{blue}{\(C_p=7R/2\)}, \color{green}{\(C_p=8R/2\)}, \color{violet}{\(C_p=9R/2\)}\label{tab:equipartition}}
\end{sidewaysfigure*}
\subsection{Premier principe}
@@ -916,7 +918,7 @@ Q&=0\\
}}
\end{center}
-\subsection{Chaleurs spécifiques}
+\subsection{Chaleurs spécifiques}\label{par:chalspec}
Rappelons que la chaleur spécifique molaire est définie comme la quantité de chaleur nécessaire pour élever la température d'une mole d'un gaz de un degré. Soit~:
\begin{equation}
C=\frac{Q}{n\cdot \Delta \theta}\;\Rightarrow\;Q=n\cdot C\cdot \Delta \theta
@@ -955,14 +957,14 @@ Par contre, on peut relever que le c\oe fficient \(\gamma\) de l'équation \ref{
\begin{figure*}[th!]
\centering
-\psfrag{Etape1~: isochore}{Étape A~: isochore}
-\psfrag{Etape2~: isobare}{Étape B~: isobare}
-\psfrag{Etape3~: isochore}{Étape C~: isochore}
-\psfrag{Etape4~: isobare}{Étape D~: isobare}
-\psfrag{Chauffage}{Chauffage}
-\psfrag{Chargement}{Chargement}
-\psfrag{Déchargement}{Déchargement}
-\psfrag{Refroidissement}{Refroidissement}
+%\psfrag{Etape1~: isochore}{Étape A~: isochore}
+%\psfrag{Etape2~: isobare}{Étape B~: isobare}
+%\psfrag{Etape3~: isochore}{Étape C~: isochore}
+%\psfrag{Etape4~: isobare}{Étape D~: isobare}
+%\psfrag{Chauffage}{Chauffage}
+%\psfrag{Chargement}{Chargement}
+%\psfrag{Déchargement}{Déchargement}
+%\psfrag{Refroidissement}{Refroidissement}
\subfigure[Chargement\label{moteur1}]{\includegraphics[width=6cm]{Moteur1.eps}}\qquad
\subfigure[Chauffage\label{moteur2}]{\includegraphics[width=6cm]{Moteur2.eps}}\\
\subfigure[Déchargement\label{moteur3}]{\includegraphics[width=6cm]{Moteur3.eps}}\qquad