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Guyot 2021-08-06 22:30:09 +02:00
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@ -2109,6 +2109,57 @@ Par contre, ne figurent pas dans cette précision la localisation, c'est-à-dire
\subsubsection{Modification de la trace} \subsubsection{Modification de la trace}
Se pose maintenant la question de la modification de la trace. En effet, non seulement en raison du petit bug d'OSMTracker mentionné plus haut, les photos ne sont pas géotaguées, mais il pourrait être intéressant d'utiliser une symbologie particulière en fonction de la nature des éléments tagués. Se pose maintenant la question de la modification de la trace. En effet, non seulement en raison du petit bug d'OSMTracker mentionné plus haut, les photos ne sont pas géotaguées, mais il pourrait être intéressant d'utiliser une symbologie particulière en fonction de la nature des éléments tagués.
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La première étape à réaliser pour pouvoir manipuler les éléments de la trace est de convertir la couche des \emph{waypoints} en une couche en permettant la modification. En effet, la couche créée par l'outil GPS ne permet pas de modifications.
Pour cela, il faut cliquer à droite sur la couche Ronde, waypoints et choisir \emph{Enregistrer sous\dots}. Plusieurs formats de couches sont alors disponibles. L'un des formats, intéressant parce que très répandu et facilement échangeable, est \emph{ESRI Shapefile}. Vous pouvez le choisir et lui donner un nom de fichier. Normalement, le SCR (Système de Coordonnée par Défaut) par défaut est présélectionné. Enfin, il faut ajouter les fichiers sélectionnés à la carte et valider.
Ainsi, une couche supplémentaire apparaît et il devient possible de modifier ou d'ajouter des points.
Par exemple, sur la figure \ref{figure:rondeculpre}, on voit comment joindre deux traces visuellement.
Sur la figure \ref{figure:rondeculpregpxqgis} sont visibles les couches GPX, non modifiables, directement importée de l'unique fichier créé par la fusion de trois traces. Remarquez que la fusion de ces trois fichiers GPX n'a pas vraiment joint les traces, même si elle a mis l'ensemble des données dans un seul fichier. En effet, on voit clairement au niveau du lac que les traces sont disjointes. Travailler sur les deux couches GPX des traces et des waypoints ne permet pas de joindre graphiquement les chemins.
Il faut donc enregistrer ces deux couches dans deux nouvelles couches au format ESRI Sahpefile, comme décrit précédemment. On obtient alors les deux couches modifiables présentées à la figure \ref{figure:rondeculpreesriqgis}. On voit sur celle-ci que les traces sont alors décomposée en une multitude de points de mesure joints par des segments sauf au niveau du lac où les traces ne sont pas jointives.
On voit aussi sur la figure \ref{figure:rondeculpretable} que la table des waypoints est maintenant liée aux points situés sur la carte. En effet, à l'élément sélectionné par un point jaune dans la table, correspond le point mis en valeur par la couleur jaune, ici situé au milieu du lac.
Par ailleurs, ce point au milieu du lac est le dernier de la trace située à droite de la figure. Évidemment, sa position est due à l'incertitude du GPS et il devrait correspondre au premier point de la trace suivante. Il est donc nécessaire non seulement de déplacer ce point à proximité du premier point de la trace suivante, mais aussi de fusionner l'extrémité de la trace de gauche, représentée par une petit croix rouge sur avec le début de la trace de droite. Pour cela les outils de déplacement et de fusion de chemins sont nécessaires.
\begin{figure}[t]
\centering
\begin{subfigure}{0.48\textwidth}
\centering
\includegraphics[width=\textwidth]{images/RondeCulPreGPXQGIS}
\caption{Couche GPX}
\label{figure:rondeculpregpxqgis}
\end{subfigure}
\begin{subfigure}{0.48\textwidth}
\centering
\includegraphics[width=\textwidth]{images/RondeCulPreESRIQGIS}
\caption{Couche ESRI Shapefile}
\label{figure:rondeculpreesriqgis}
\end{subfigure}
\begin{subfigure}{0.48\textwidth}
\centering
\includegraphics[width=\textwidth]{images/RondeCulPreTable}
\caption{Table des waypoints}
\label{figure:rondeculpretable}
\end{subfigure}
\begin{subfigure}{0.48\textwidth}
\centering
\includegraphics[width=\textwidth]{images/RondeCulPreGPXQGIS}
\caption{Menu des traces.}
\label{figure:osmtrackertraces}
\end{subfigure}
\caption{Modification de traces}
\label{figure:rondeculpre}
\end{figure}
\smallskip
La seconde étape à réaliser concerne les images. Pour pouvoir les positionner sur la carte, il est nécessaire d'en connaître les coordonnées.
\subsection{Outils de positionnement}\label{section:outilsdepositionnement} \subsection{Outils de positionnement}\label{section:outilsdepositionnement}
\subsubsection{Introduction} \subsubsection{Introduction}
Quand on fait de la cartographie, il est naturel à un moment où à un autre de s'intéresser à un positionnement absolu. Il s'agit d'une longue histoire qui passe par les méthodes de détermination de la latitude, puis évidemment du célèbre problème de la longitude. Quand on fait de la cartographie, il est naturel à un moment où à un autre de s'intéresser à un positionnement absolu. Il s'agit d'une longue histoire qui passe par les méthodes de détermination de la latitude, puis évidemment du célèbre problème de la longitude.

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