Petites modifications

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\section{Cartographie de terrain}
\subsection{Introduction}
Aux antipodes de la cartographie avec python, on peut envisager d'aborder le thème d'une toute autre manière : en se déplaçant sur le terrain. L'idée n'est pas ici \emph{d'utiliser} les cartes, mais de les faire. La question est : est-ce envisageable ? La réponse est oui, grâce à OpenStreetMap.
Aux antipodes de la cartographie avec python, on peut envisager d'aborder le thème d'une toute autre manière : en se déplaçant sur le terrain. L'idée n'est pas ici \emph{d'utiliser} les cartes, mais de les faire. La question est : est-ce envisageable ? La réponse est oui, grâce à OpenStreetMap. Un bon descriptif des outils disponibles en relation avec OpenStreetMap (OSM) est donné à l'adresse \url{https://dane.ac-lyon.fr/spip/OpenStreetMap-la-cartographie-511}.
Avant de voir comment, il faut insister sur le fait que la cartographie est un travail méticuleux et généralement de longue haleine. Cela constitue à la fois un inconvénient et un avantage. Un inconvénient car le travail préparatoire à la construction d'éléments cartographiques est important et doit être précis. Un avantage, car il est si important qu'on pourra toujours trouver beaucoup de choses à faire pour tous les élèves.
@ -1393,20 +1393,20 @@ Enfin, plaçons les points, c'est-à-dire ici les bancs et les tables. Le travai
\label{figure:josmbancsettable}
\end{figure}
Finalement le résultat sur OSM sera celui présenté à la figure \ref{figure:josmresultats}.
\begin{figure}
\begin{figure}[t]
\centering
\includegraphics[width=10cm]{images/JOSMResultats.eps}
\includegraphics[width=8cm]{images/JOSMResultats.eps}
\caption{Le résultat final}
\label{figure:josmresultats}
\end{figure}
Finalement le résultat sur OSM sera celui présenté à la figure \ref{figure:josmresultats}.
\paragraph{Éditeur Merkaartor}
Merkaartor va maintenant être utilisé pour des modifications de chemins et pour la création d'une petite place goudronnée.
L'interface graphique de Merkaartor est présentée dans la figure \ref{figure:merkaartorinterface}.
\begin{figure}
L'interface graphique de Merkaartor est présentée dans la figure \ref{figure:merkaartorinterface}. On voit d'entrée que l'aspect des éléments géométriques est particulier. Mais, on dispose à gauche d'un panneau intéressant pour gérer cela : \emph{Styles}. L'action de ce panneau peut être vue en comparant les figures \ref{figure:merkaartorinterface} et \ref{figure:merkaartorpathmetadata}. Le changement de style des objets est saisissant et si au premier abord il peut sembler inutile, il permet de mieux mettre en évidence certains éléments.
\begin{figure}[t]
\centering
\begin{subfigure}{0.45\linewidth}
\centering
@ -1418,10 +1418,35 @@ L'interface graphique de Merkaartor est présentée dans la figure \ref{figure:m
\centering
\includegraphics[width=\linewidth]{images/MerkaartorPathMetadata.eps}
\caption{Styles et chemins}
\label{figure:merkaartorpathmetadata.eps}
\label{figure:merkaartorpathmetadata}
\end{subfigure}
\caption{Merkaartor}
\label{figure:merkaartor}
\end{figure}
On voit en effet à la figure \ref{figure:merkaartorpathmetadata} que certains chemins semblables sur la carte OSM sont affichés de manière très différente. L'épaisseur des segments les mets en évidence. La différence tient dans le fait que certains éléments sont de type \emph{path} et d'autres de type \emph{Voie piétonne}.
S'il n'est pas ici dans notre propos de résoudre ces problèmes, il est intéressant de relever que ces difficultés peuvent être rencontrées avec des étudiants et qu'elles peuvent être à l'origine d'une discussion intéressante sur la nomenclature des objets. En effet, au parc Gallet, la circulation automobile est interdite et celle des vélos et des piétons autorisée. Mais les \og chemins \fg{} sont asphaltés et le déplacement des véhicules interdits est possible. On peut donc se demander dans quelle catégorie ce type d'objets doit être référencée. Les lignes épaisses de la figure \ref{figure:merkaartorpathmetadata} sont notées comme \emph{voie piétonne}. Or, il est possible d'y circuler en vélo mais certainement pas à moto. La nomenclature de \emph{voie piétonne} est-elle exclusive, ou est-il supposé que les vélos y soient autorisés ? Une manière de ne pas prendre position est de noter ces voies comme \emph{path}. C'est ce qui a été fait pour la majorité d'entre elles sans qu'on sache si cela est volontaire ou si c'est simplement parce que le type de chemin par défaut est celui-ci.
Du point de vue des bases de données, les problèmes liés à ces nomenclatures sont très importants, car dans le calcul d'itinéraires, la possibilité de spécifier le type de véhicule utilisé nécessite de savoir précisément à quel type de chemin appartient un segment de route. Aborder alors la différence entre route et chemin est nécessaire. Nous ne le ferons pas ici.
\smallskip
Cependant, pour normaliser les chemins du parc Gallet, au contraire du choix que nous avions fait pour les chemins manquant ajoutés précédemment, comme celui présenté sur la figure \ref{figure:merkaartorpath}, nous sommes revenu à un chemin générique comme celui présenté sur la figure \ref{figure:merkaartorpathnormalise}.
\begin{figure}[h]
\centering
\begin{subfigure}{0.45\textwidth}
\centering
\includegraphics[width=\textwidth]{images/MerkaartorPath.eps}
\caption{Un path tagué \emph{voie piétonne}}
\label{figure:merkaartorpath}
\end{subfigure}
\begin{subfigure}{0.45\textwidth}
\includegraphics[width=\textwidth]{images/MerkaartorPathNormalise.eps}
\caption{Changement de tag : \emph{path}}
\label{figure:merkaartorpathnormalise}
\end{subfigure}
\caption{Normalisation des chemins}
\label{figure:normalisationpath}
\end{figure}
\end{document}