Suite de la partie traces.

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@ -2075,7 +2075,39 @@ Enfin, le bouton « Tourisme », donne accès à la fenêtre présentée à la f
Enfin, sur la figure \ref{figure:osmtrackertraces}, on voit en arrière plan l'affichage de la liste des traces déjà enregistrées, avec en avant plan différentes actions réalisables sur celles-ci. Outre le fait de pouvoir arrêter et reprendre l'enregistrement, remarquez la possibilité d'exporter la trace sous la forme d'un fichier GPX et celle de l'envoyer directement sur Openstreetmap. Enfin, sur la figure \ref{figure:osmtrackertraces}, on voit en arrière plan l'affichage de la liste des traces déjà enregistrées, avec en avant plan différentes actions réalisables sur celles-ci. Outre le fait de pouvoir arrêter et reprendre l'enregistrement, remarquez la possibilité d'exporter la trace sous la forme d'un fichier GPX et celle de l'envoyer directement sur Openstreetmap.
\subsubsection{Représentation de la trace} \subsubsection{Représentation de la trace}
Le relevé de tous ces éléments permet Le relevé de tous ces éléments permet de visualiser la trace du déplacement réalisé. Pour cela, il faut évidemment un fond de carte, OSM par exemple, mais aussi charger le fichier GPX de la trace dans QGIS par exemple. Il est aussi possible de le faire directement dans OSM évidemment.
\medskip
Voyons donc comment procéder dans QGIS.
Tout d'abord, il est nécessaire d'activer le module préinstallé de QGIS qui permettra d'importer la trace GPX. Celui-ci se trouve dans les extensions et se nomme \emph{Outils GPS}. Une fois trouvé, il faut cocher d'un petit vu la case en regard de son icône pour l'activer. Ainsi, il apparaîtra dans la barre latérale verticale tout à gauche de l'interface de QGIS un bouton nommé \emph{Outils GPS} (et un autre nommé \emph{Créer une nouvelle couche GPS} au-dessus). En cliquant sur ce bouton, un onglet nommé \emph{Charger un fichier GPX} se présentera vous permettant de sélectionner le fichier en question et de choisir les entités à charger : Points (Waypoints), Itinéraires (Routes) et Voies (Tracks).
La figure \ref{figure:rondeqgis} présente le résultat de cet import.
\begin{figure}[t]
\centering
\includegraphics[width=\textwidth]{images/RondeQGIS}
\caption{Import d'un fichier GPX dans QGIS.}
\label{figure:rondeqgis}
\end{figure}
On y voit, tout à gauche et tout en bas, le bouton d'import des outils GPS (juste en-dessous de celui de la saisie de coordonnée qui est sélectionné).
En regard des ces deux boutons, se trouvent les couches présentes au nombre de quatre : Ronde, waypoints, Ronde, routes, Ronde, tracks et OSM Standard.
Tout à l'opposé, en vert foncé, marqué de quelques étoiles rouges, la trace du déplacement.
Et au centre, un outil obtenu en cliquant à droite sur la couche Ronde, waypoints et en choisissant \emph{Ouvrir la table d'attributs}. Cet outil permet de voir les données associées à la trace qui se trouvent dans le fichier GPX. À l'ouverture de l'outil, c'est une table qui se présente. En cliquant sur le petit carré bleu en bas à droite de la fenêtre, on peut \emph{Basculer sur la vue formulaire} qui permet de voir les mêmes données mais sous une forme quelque peu plus lisibles.
\smallskip
On y voit treize \emph{waypoints} qui sont des éléments supplémentaires à la couche de la trace elle-même Ronde, tracks. Ces éléments sont représentés sur la trace par des étoiles rouges (le choix de ce symbolisme se fait dans la fenêtre des propriétés de la couche Ronde, waypoints).
Il est intéressant de noter que le point dont les éléments figurent à droite avec en particulier le nom \emph{Memo vocal}, correspond au quatrième mémo vocal présent sur la liste de gauche et que, comme on ne le voit pas entièrement dans les champs \emph{comment} et \emph{description}, figurent la précision, la valeur du compas intégré (compass heading) et la précision du compas (compass accuracy).
Par contre, ne figurent pas dans cette précision la localisation, c'est-à-dire la longitude et la latitude, des points. Pourtant ces indications figurent dans le fichier de traces, comme on peut le savoir en raison de la présence des points sur la trace, mais aussi en consultant le contenu même du fichier GPX présenté dans la figure \ref{listing:formatgpx}, page \pageref{listing:formatgpx}. Cela est évidemment lié aux décisions ergonomiques prises par QGIS qui situent le placement des points dans l'interface graphique de la carte et non au niveau de la base de donnée associée. C'est d'ailleurs la raison pour laquelle la table d'attributs de la couche Ronde, tracks est vide.
\subsubsection{Modification de la trace}
Se pose maintenant la question de la modification de la trace. En effet, non seulement en raison du petit bug d'OSMTracker mentionné plus haut, les photos ne sont pas géotaguées, mais il pourrait être intéressant d'utiliser une symbologie particulière en fonction de la nature des éléments tagués.
\subsection{Outils de positionnement}\label{section:outilsdepositionnement} \subsection{Outils de positionnement}\label{section:outilsdepositionnement}
\subsubsection{Introduction} \subsubsection{Introduction}

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